jeudi 30 avril 2009

30 avril 2009 en duo Les contes des Mille et une Nuits




c'est pour écouter dans une douce alternance


LaniAzedine conter des bistoires de bjinns, de babouches, de bossu, de bAmour, de bêtes qui tombent, de bûches d'apiculteur, de petit boineau, de betits boissons, donc de betits bchefs d'boeuvres de la bittérature borale borientale. Boute une bambiance, boi.

Une bar-enthèse baisible bour oublier l'actualité. Bejoignez-bous.
Nnous vous attendons.
Et s'il nous prenait l'envie, comme à Bagdad en ces temps aciens, de conter sur la terrasse du palais, pensez à prendre une petite laine !
Lieu : Bar Le Panama - Quartier Ste Thérèse - Rue de l'entrée del'église du même nom
à 15' minutes talons aiguilles perchée, testé pour vous hier, Station Métro Jacques Quartier, gauche toute - bus N° 18, arrêt Bigot de Préameneu - descendre et suivre le trottoir sur la droite. Ne traverser que le carrefour qui suit. A trois pas Zeuz vous attend. N'ayez pas peur.
tel : 02.99.50.75.80

Parce que un spot à la TV, parce que souffrance d'une amie, de moi-même et de bien d'autres

un lien à découvrir pour compatir au-delà des grands rassemblements médiatiques. Terrain, terrain, être sur le terrain, être en compassion, en empathie et comprendre que la parole ne doit pas être le simple fait du conteur devenu spécialiste. Parce que si conteur il y a c'est parce que les oreilles existent et tout d'abord les siennes. Soyons tous des conteurs, écoutons...-nous et retournons à nous-mêmes ce que nous destinions à autrui.
J'aimerais bien que ce petit texte arrange, par la même occasion, mes relations avec une certaine administration rennaise qui m'a "bannie" de ses registres. Je n'en reviens toujours pas d'avoir un bras de fer avec une administration, socialiste qui plus est, mais je pense que ce pourrait arriver avec tout autre. Mon tort à toujours été de défendre l'autre. Et de n'avoir jamais trouvé quelqu'un pour me défendre.
Culture où es-tu ! Paroles, paroles, actes actes... actons mais prudemment,.... ce billet pour faire preuve que, malgré mon âge, je ne suis toujours pas prudente. Avec lui, je défends celle qui souffre aujourd'hui. Une amie. Et forcément, moi-même.

mercredi 29 avril 2009

A lire chez elnooreddunia, festival Iloriental 2008

http://www.elnooreddunia.com/article-18524015.html

Ce soir 29 avril 2009 "Les Contes des Mille et une Nuits" d'Azeddine


à Rennes
dès 20 h 30
Chez les magnifiques Christelle et Christophe


au bar Le Panama, 28 rue Bigot de Préameneu - 02.99.50.75.80 - il est préférable de réserver -mais pas obligatoire
vous découvrirez, sous la voix de
Azeddine, conteur parisien d'origine algérienne, l'histoire cadre de cet ouvrage aux multiples surprises.
Azeddine est tombé amoureux de l'univers des Mille et une Nuits : un univers sans fin.
Il aime en parler, dire leurs contes, -il n'y a pas qu'Ali Baba- faire connaître ce chef d'oeuvre de la littérature, aux portes ouvertes par grand nombre et chacun à sa façon, dont la sienne.
Plus il les dit, plus il aime les dire, changeant parfois les histoires. Plus il rencontre son public, plus il comprend combien ce chef d'oeuvre littéraire reste encore méconnu. Et tant mieux. Toute exploration est bienvenue. Parlez avec lui, questionnez-le, il se plaira à vous répondre.

Comme Lania, il se sent français de chez français. Ils ont tous deux étés élevés dans cette langue, française "de la république qui a écrasé les langues régionales" -a-t-on dit un jour à Lania qui n'en avait aucune conscience- et bien qe tous deux soient d'origine étrangère, ils ne mettent pas ce critère en avant. Chez lui, ça se voit (quoique) Pour certains ça saute aux yeux. Quoique.

Petite histoire dont a été témoin Lania
"Vous êtes conteur ?" Oui
"Quel est votre répertoire " Les contes des Mille et une Nuits
"Ah oui,.... c'est normal, vu votre origine !!"

Pas si normal que ça. Mais peut-être bien. Ce qui est sûr : c'est que ce soir au Bar le Panama, la magie du conte jettera ses envoûtements. Merci de nous faire confiance

lundi 27 avril 2009

Pour Nathacha, suite à la soirée au Ty Anna ce soir



Ma jauge à moi, c'est l'après-conte. Ai-je la tête et les yeux nourris d'images ?
Non, prendre la parole n'est pas facile. Entre penser à son texte, habiter l'espace, offrir le meilleur, s'offrir, se censurer, se donner : pas si simple. Une vérité : penser au public qui regarde, qui écoute, qui est venu pour recevoir, entendre, répondre, entonner, faire confiance, se laissera aller, rire, comme Maëlle, (superbe)s'abandonner. La voix doit être là, présente, porteuse pour emporter, être suivie, même sans micro (dommage). "Tu dois parler au bois que tu ne vois pas" me disait-il vu que tu as un filet de voix" La voix est soi, soie. La moduler, c'est unpublic qui suit. A quitter l'instant, à la recherche du vent. Tel P'ty Jan. Brûler au Niger, avec le fiancé et sa fiancée -excellent- recevoir, ou non, les masques de la reine des masques -superbe moment- entrer dans les images. Et il en reste de belles, derrière ces contes et celui, merveilleusement haïtien, de Natacha. Challenge réussi pour les trois conteurs. Entre Afrique et Caraïbes, Niger, Mali et Haïti, bien des sourires et du bonheur. Merci pour cette offrande. Vu de près -j'étais avec mon amie Claire, quasi sous leur nez-
Il y avait de l'énergie conteuse sur la scène du Ty Anna ce dimanche soir 25 avril. Du physique, de la beauté à prendre et à offrir à bras le corps, à s'envoler à faire craquer les murs. Et dans l'ordre, Vincent Michon, Natacha Jeune Saintil et Martial Tonguino

Pour reparler des Caraïbes, voici la référence de l'ouvrage dont je me suis inspirée pour créer ma "Recette sorcière et cubaine pour avoir un bel enfant" : "Bregantino Bregantín" Lydia Cabrera, Mercure de France , 1995, 2.00 € : Il était une fois, quand Taureau-Roi fit la loi sur l'ancienne Cocozumba, l'actuelle Cuba ...
Un rappel :
29 avril à 20 h 30 Contes des Mille et une nuits avec Azeddine en solo
30 avril à 20 h 30 Contes des mille et une nuits en duo avec Lania
Un conseil :
Souffler sur la photo pour ébruiter. Merci

samedi 25 avril 2009

Soirée Rennes-Cuba : que chevele el ambiente !

On s'inspire des Maîtres
On peaufine, on précise

On examine, on prend exemple, on se laisse aller


D'abord .... l'apéritif,, Merci Danièle et vive le Punch de Carole
ensuite l'initiation à la salsa, les hommes d'un côté, les femmes de l'autre, invite Eric, que l'on remercie car il enseigne pour le plaisir

L'ordinateur serait-il incommodé par les chaleurs caraibéennes ? il ne veut plus déposer les photos... Resteront les mots. Nombreux furent ceux qui suivirent l'enseignement. Ensuite on s'installa à table à côté de qui le hasard souhaite. Il fait bien les choses !!!. Les petites mains se mettent au travail. Le chou blanc précède le porc mariné au congri (riz et haricots rouges) qui précède la salade de fruits exotiques.

Félicitations à la cuisinière, et au cuisinier . Applaudissements mérités.

Baissons les lumières, place à la parole, celle du conte. Lania propose un choix crucial : page 56 ou 213 ? A l'unanimité, la page 213 l'emporte et tout le monde prend "El bus" in "Los visitantes del sàbado" de Alexis Pimienta -on peut retrouver cette nouvelle en français dans l'ouvrage "Des nouvelles de Cuba 1990-2000) (Page 56, nous aurions découvert l'histoire de Sir Cook, havanais plutôt malheureux d'habiter La Havane : inspirée par son malheur il fait le bonheur d'autrui en les faisant voyager dans un fauteuil de cinéma). Par la suite, nouveau moyen de transport d'après un conte de Zoé Valdès (Contes Cubains, sous réserve) : un ballon aérostatique ou un cerf volant géant, et pour terminer, une histoire de Pépito, difficile de quitter Cuba sans en entendre une. Celle-ci est tirée du volume intitulé "A Cuba, j'étais berger Allemand" Beaux éclats de rires, cependant mesurés. Merci à tous et toutes.



Il fallait tout de même bien un écho musical. OK, oui, promis, j'a ppren drai à faire des vidéos. Viva la salsa

Soirée Cubaine Rennes Cuba : ambiente chevele !

Ils sont attendus, quelques uns sont déjà là Les Orisha Yemaya et Oshun les précèdent

Ils sont sur le chemin dans le bus et tout le monde s'en souviendra


Le soleil décline, la table est mise, les convives ne sauraient tarder


Ajouter une image




La voilà qui me photographie ???? Peut et peut-être pas !





Vive Madame la présidente qui les a tranchées





Quand les déchets se font art ! Vert de peur !






Sourire bienveillant de Carole préposée à l'accueil... comme tout le monde






Pour 80 convives, masculin tour de main oblige !






Aleïda, spécialiste du jour car cubaine goûte !!! C'est parfait ! Ouf !

Panama oblige







Prémisse du repas cubain : Patrick, cuisinier du jour







Chevele, pour qui ne saurait, veut dire Chevrolet, parce que cette marque donnait envie de posséder une voiture. Quand on l'avait : Chevele !!!


























Zen, offert par Lania

qui remercie Joëlle,
qui remercie Françoise
qui remercie Martine
qui remercie Evelyne
qui remercie Francine
qui remercie Caroline Valette qui l'a cueillie et déposée sur son
http://caroline.valette.over-blog.com/
Courage, copiez-collez, puis cliquez. Et détendez-vous, respirez à pleins poumons, fermez les yeux, laissez le soleil caresser votre peau -il est beau aujourd'hui -déjà chaud à 7 h 30, horaire 1956- et écoutez la musique. Bon week-end à tous et à chacun

vendredi 24 avril 2009

Musiques au piano et paroles d'adolescent(e)s à la voix

"J'ai 15 ans et j'écris sans te connaître"
spectacle voix et piano
présenté dans le cadre des "Soirées du Parc"
par l'association ANACROUSE à Betton

dernière soirée de l'année ce
samedi 25 avril
17 rue du Parc
à Betton.

Pour connaître le programme et les artistes, vous rendre sur
http://www.anacrouse-betton.com/.
Rubrique
Evenements
Sous-rubrique :
"Alter-Ego" :
Isabelle Lecerf Dutilloy
Marie Jahier






Rennes Cuba, première soirée : à refaire

Petites ou grandes mains, elles avaient bien fait les choses.
Entrée, plat principal et dessert : une réussite
Initiation à la salsa : une réussite encore ;
La demie-heure contée ? Ce n'est pas à moi de dire. Cependant, vue, du ballon aérostatique, le silence était porteur.
Ce billet attend quelques photos. Elles seront déposées ultérieurement.

J'en profite pour confirmer que je conterai avec Azeddine, un ami conteur parisien, "les mille et une nuit", le jeudi 30 avril au Bar le Panama à Rennes chez Christelle et Christophe. Très exactement, 28 rue Bigot de Préameneu. S'il faisait beau, dire les contes dans le cadre de leur jardin serait fabuleux.
Azeddine contera en solo, la veille, soit le mercredi 29 avril et dans le même endroit, son répertoire Mille et une Nuits.
A vous croiser, voir, revoir, rencontrer, reconnaître. A la semaine prochaine. Off très off des Mythos, parce que nous l'avons organisé nous-mêmes. Et merci au Panama.

mercredi 22 avril 2009

Un petit conte du pays de Rance : Drôle de Fée Croquellen

Il y avait dans les temps lointains dans le pays de Rance un Mont Croquellen. Et, pour y habiter, une fée du même nom aux connaissances si nombreuses que, de toute part, chacun venait la consulter.

Dans le même temps, une fille du pays, pourtant pas très fine, se laisse aller, de notoriété publique, à écouter des fariboles. De très très près. Et par les gars. Si près, qu'on se demande bien pourquoi elle s'étonne de voir son justaucorps devenir trop juste.
Mais le fait est là. Et en elle, elle ne trouve pas de réponse. Comme elle se sent de plus en plus embarrassée, elle va interroger la fée du Mont Corquellen. La fée Corquellen ne peut pas ne pas savoir.

Ce jour-là elle n'est pas seule à avoir l'idée de questionner la Fée. Ils sont trois. Elle.
Une mendiante et un bossu.

La mendiante se rend chez Croquellen, parce que, à près de soixante dix ans, elle ne comprend pas pourquoi on l'appelle "la vieille boune foume".

Le petit bossu, plutôt charmant, se présente pour comprendre pourquoi lui, on l'appelle "le petit bossu ?" Non mais des fois.

C'est la fille, qui n'était pas trop fine, qui entre la première dans la hutte de la fée Croquellen. Elle lui raconte son histoire et son pourquoi. La fée lui demande de s'asseoir et de l'attendre. Elle ne tarde pas à revenir. Quand elle revient la fée porte un grand miroir. Elle le pose devant la fille et lui demande de se regarder dans le miroir.

La fille se regarde, mais elle a beau se chercher, elle ne se voit pas. C'est ce qu'elle dit à la Fée Croquellen. "C'est étrange. Presque impossible. Dis-moi au moins ce que tu vois !" réplique la Fée un peu moqueuse. La jeune fille répond qu'elle voit des lièvres qui se sauvent devant des chiens" "Tu as raison, tu ne pouvais pas te voir, mais c'est dommage, car si tu avais couru devant les gens que tu as rencontrés comme les lièvres font dans le miroir, tu ne te serais pas retrouvée dans la situation qui te trouble ! "

La fille est un peu gênée. Comprend-elle ? Elle quitte la hutte et c'est au tour de la vieille femme d'entrer dans la hutte de la Fée. La fée lui demande de s'asseoir et de lui poser sa question. "Je t'écoute !" dit-elle, et ce faisant, elle tourne le miroir vers la vieille. Elle lui demande "Que vois-tu dans ce miroir ?" La pauvre vieille femme est très émue C'est à peine si elle peut parler. Elle finit par dire qu'elle voit une jeune fille de 18 ans, morte pendue.

"C'est exactement ce que tu devais voir," lui dit la fée, et sache que si tu avais fait comme cette jeune fille, on ne t'aurais jamais nommée la "Vieille boune foume" (mdr)

La pauvre vieille s'en va d'un pas trébuchant. Le petit bossu lui succède. Et que pensez-vous que lui ait répondu la Fée Croquellen quand elle a su son pourquoi du comment ?

Vous aussi vous voudriez savoir ?

"Osez !"
J'ose, dit la fée. La réponse fuse, à l'ancienne et plutôt gauloise. Le pauvre petit bossu décampe aussitôt dite.

Au pays de Rance, on ne sait toujours pas ce qu'il est devenu. On y dit à ce propos :
"Toi non plus ? Cherche-le et mets ton nez dans son ... Alors on sera sûr qu'il n'est pas perdu !!!!"
Rarrissime de ma part, mais aujourd'hui, me fait rire et fait penser à la merveilleuse déesse Baubo.

Rennes-Cuba organise une soirée festive

Au menu
Apéritif, initiation salsa
ou
Initiation salsa, apéritif, repas, 30 ' de contes avec la fantaisiste Luisa y baile después, palabras tambien.
Quelque part côté Francisco Ferrer. Mais ne regrettez rien : c'est à guichet fermé -je plaisante mais les réservations sont suspendues.
Sachez-le, l'association Rennes-Cuba, elle existe. Elle a un site : http://www-rennescuba.fr

vendredi 17 avril 2009

Les contes des Mille et une Nuits avec

Azedine, lui-même et son spectacle c'est
au bar Le Panama à Rennes, 28 rue Bigot de Préameneu,

le mercredi 29 avril à 20 h 30

LaniAzedine et leur collaboration sur les contes des Mille et une Nuits, c'est le lendemain, le jeudi 30 avril 2009 toujours au bar Le Panama, toujours à Rennes, toujours au 28 rue Bigot de Préameneu, toujours à partir de 20 h 30

Spectable l'annonce. Sufit d'interroger Tonton Google ou le vôtre.

mardi 14 avril 2009

Mille et une Nuits au Panama les 29 et 30 Avril prochains


Le 29 avril 2009, Azedine, conteur français parisien et collègue de Lania, contera son spectacle "Les mille et une Nuits"
Le 30 avril de ce même temps, Lania, collègue de Azedine accompagnera celui-ci sur le thème des mille et une nuits.

Soit deux spectacles, soit deux ambiances distinctes, à savourer à partir de 20 h 30, les 29 et 30 avril dans le cadre sympathique du bar



"Le Panama"



drivé par Christelle et Christophe
02.99.50.75.80
pour confirmer votre présence à fins d'organisation maximale
Comédiens-conteurs à rémunérer au Chapeau. Remerciements à tous et à chacun.

Pour vous repérer : Quartier Sainte Thérèse, à trois pas de l'église du même nom (même rue), non loin de la maternelle idem
Métro :
Clémenceau. En sortant traverser le boulevard, remonter sur votre gauche. Ignorer le super marché. Tourner deuxième rue votre gauche
ou Jacques Cartier : prendre sur votre gauche et remonter le boulevard du même nom. Jusqu'à croiser la rue Bigot de Préameneu sur votre droite. La remonter légèrement, traverser le carrefour : trois pas plus loin sur la droite : vous êtes arrivés.
Ligne bus N° 18 - se prend sur les quais, sur le pont qui tourne le dos au Parlement. Descendre à l'arrêt Bigot de Préameneu. Prendre sur votre droite en descendant et rester sur le trottoir pour remonter la rue B de P. Traverser un carrefour : vous n'êtes plus qu'à trois pas du bar en remontant sur votre droite, 28 rue Bigot de Préameneu

lundi 13 avril 2009

(re)Pa(RE)sseuse moi....

En fait oui. De mon balcon j'ai vu
-koi t'as vu Lania ?- un deux trois quatre et cinq et six grands filles et garçons, homme et femme,
-koi ki font Lania ?- Ils se penchent, se relèvent, se penchent se redressent et arborent avec enthousiasme, tous bras levés, un panier.
-koi ki y a, dans le panier, Lania ?- des oeufs pour l'om'lette Marie !
-koi k'om'lette Lania ?- L'omelette de Pâques, Marie !
-koi k'séça, l'om'lette de Pâques Lania ?-
Celle du lundi comme aujourd'hui Marie !
-koi k'je connais pas çette coutume Lania ! Jamais entendu parlé ? Ah bon ?
- Si k'on s'en f'sait une Lania ?

Je ne fais pas de commentaire. Je change d'entrée. Quelques minutes passées plus tard et quatre oeufs bien cassés, fouettés-mêlés de petits pois et lardons, sur le balconnier ensoleillé, c'est... lundi de Pâques bonheur.
Dans l'après midi, coup de téléphone inattendu et agréablement plaisant de mon breton et sympathique webmestre Lui aussi ne connaît pas cette tradition de l'omelette du lundi de Pâques. Sincèrement, je n'en reviens pas. Mystère sous roche ? Je cours saluer Tonton Google qui me conte. Mais oui, c'est bien sûr, c'est très vrai, Bessières !!!! Alors, je vous invite à faire un p'tit tour du côté de la Confrérie Mondiale de l'Omelette de Pâques à Bessières, dans le 81 : je comprends pourquoi je connais. C'est une coutume de ce coin de famille à mon fils. Mais eux, Tarn oblige, ils ajoutent des petits poissons dedans. Et pkoi pas, mais pkoi pas ! On a bien La Vilaine ici. Je "L'Oeuf Gouessant" que je vais mijoter un projet 2010. A bientôt, Bon appétit.

samedi 11 avril 2009

Maëlis, la petite fille, qui écoute l'histoire


Histoire vraie. Je m'appelle Maëlis, un jour je serai grande et je raconterai moi-même l'histoire de la Dame au chapeau noir. J'étais dans le bus, quand elle m'a dit : " Tu veux écouter une histoire.... une histoire de petite fille ?" J'ai souri j'ai dit oui. Alors elle a dit "

"C'était il y a longtemps, il était une fois une petite fille. Elle s'appelait Maëlis, elle habitait Toulouse. Elle allait en vacances à Rennes-Patton. Patton-la Bellangerais !!! Sur la place y avait un boulanger. Un fameux boulanger. L'avait pas son pareil tu sais, pour fabriquer la tendre campaillette. Alors les déjeuners rennais de ses vacances, la petite fille elle y pensait tout le temps à Toulouse où elle vivait. Surtout à la campailette. Et elle n'avait plus qu'une seule idée, repartir en vacances en Bretagne, pour y re-goûter. Un jour ça s'est fait : c'était le week end de Pâques. Mais au petit déjeuner, quand elle a dit à sa maman

"Maman donne-moi de la tendre campaillette

du boulanger de Patton-La Bellangerais"
"La maman, fillette, tu sais c'est quoi qu'elle a répondu ?" a dit la dame au chapeau noir. La petite fille a dit "Non" La dame au chapeau noir a dit "C'est normal, tu n'étais pas là, mais oui, elle a dit "Non, d'abord rapporte-moi du lait !" La petite fille pense qu'est-ce qui lui prend à ma Maman. Et elle demande "Du lait quel lait ?" Sa Maman répond "le lait de la ferme des Gayeulles !" Quand l'enfant voit ses grands yeux noirs penchés sur elle, elle part chercher le lait. Elle court elle court elle court jusqu'à la ferme des Gayeulles dis donc. La vache était là, toute seule dans son pré, pas d'ânon, pas de chèvre, ni de brebis, une vache bien toute seule.
La petite fille lui dit

"Bonjour vache, donne-moi du lait ?

Pour ma mère qui me donnera mon pain !"

"La vache, tu sais c'est quoi qu'elle a répondu fillette ?" dit la dame au Chapeau Noir. "Non" répond la petite fille qui écoute l'histoire. "Normal", a dit la dame au chapeau noir, "tu n'étais pas là. Mais Oui,


elle a dit "Non"et "d'abord rapporte-moi de l'herbe". La petite fille, celle de l'histoire, elle a dit "Quelle herbe ?" L'herbe du grand pré de Cesson ! Quand la petite fille voit les gros yeux noirs penchés sur elle, elle part, et elle court, court et elle court, direction le grand pré de Pacé.

Ouf, Il était là. La petite fille lui a dit

"Bonjour Grand Pré, donne -moi de l'herbe

pour la vache qui me donnera du lait

pour ma mère qui me donnera du pain

pour moi qui pourrais enfin déjeuner !"
Le grand pré, tu sais c'est quoi qu'il a répondu fillette ? a dit la dame au chapeau noir. "Non" a dit la petite fille qui écoute l'histoire. "Normal" a dit la dame au chapeau noir, "tu n'étais pas là. Il a dit "Non" le grand pré, "d'abord rapporte-moi la faux". Aussitôt elle répond, "La faux ? quelle faux ?" Le grand pré répond "La faux du grand forgeron de Pont Réan" La petite fille, celle de l'histoire, elle rit et pense que cette fois, elle sait où c'est. Et elle part et elle court, court, elle court direction Pont Réan. Elle arrive à la nuit. La fenêtre de la forge immense, tu te souviens, elle a plusieurs étages, elle est toute rouge : ça lui fait peur mais elle frappe à laporte. Qui s'ouvre et la plonge dans la lumière. Par-dessus sa tête une voix tombe "Que veux-tu ?" dit-elle

"Bonsoir Forgeron donne-moi ta faux !"

pour le pré qui me donnera de l'herbe

pour la vache qui me donnera du lait

pour ma mère qui me donnera du pain

pour moi qui pourrais déjeuner !
"Le forgeron, fillette, tu sais c'est quoi qu'il répond ?" dit la dame au chapeau noir. "Non" dit la petite fille qui écoute l'histoire. "Normal" dit la dame au chapeau noir "tu n'étais pas là" Il dit "non, et d'abord rapporte-moi de la graisse !" Aussitôt la petite fille répond "La graisse, quelle graisse ?" Le Forgeron répond "La graisse du petit cochon de Locuon !" Aussitôt la petite fille, celle de l'histoire, elle sourit, car Locuon, elle connaît. Elle part, elle y va, elle y court. Elle y arrive. Dans le cimetière, près de l'église il y a une grosse pierre : auprès de la pierre il y a Léonlecochon. La petite fille lui demande

"Bonjour Léonlecochon de Locuon, donne-moi ta graisse ?

pour le Forgeron qui me donnera sa faux

pour le pré qui me donnera son herbe

pour la vache qui me donnera du lait

pour ma mère qui me donnera du pain

pour moi qui pourrais déjeuner !"

"Léonlecochon de Locuon fillette, tu sais c'est quoi qu'il répond ?" dit la dame au chapeau noir. "Non" dit la petite fille qui écoute l'histoire. "Normal" répond la dame au chapeau noir, "tu n'étais pas là". Il répond "Non et d'abord ramène-moi des glands !" La petite fille, celle de l'histoire elle dit aussitôt "des glands quels glands ?" "Les glands du grand chêne de Gaillac !"

Gaillac, la petite fille de l'histoire elle connaît. Elle y va elle y court. Elle saute la Loire, elle saute la Garonne. Heuh non, elle ne saute pas la Garonne, elle descend les gorges du Tarn, on dirait qu'elle vole mais en fait, elle kayake. Enfin, elle aperçoit le chêne. Hou la la qu'il est grand mon dieu qu'il est grand. Elle hausse les épaules, pose le pied au sol, lève la tête en l'air. Il l'impressionne mais elle est courageuse. Elle se lance et demande :
"Bonjour, Grand Chêne de Gaillac, donne-moi tes glands !
pour Léonlecochon de Locuon qui me donnera sa graisse
pour le Grand Forgeron de Pont Réan qui me donnera sa faux
pour le grand pré de Pacé qui me donnera de l'herbe
pour la vache de la ferme des Gayeulles qui me donnera du lait
pour ma maman de Toulouse qui me donnera du pain
pour moi qui pourrais enfin déjeuner !"Tu sais quoi c'est quoi qu'il répond, fillette, demande la dame au chapeau noir. "Non" dit la fillette. "Oui" dit la dame, il répond "non et d'abord souffle-moi le vent d'Autan !" La petite fille répète "le vent d'autan, mais il est où ?" "Cherche" dit le Grand Chêne de Gaillac. Cette fois l'enfant chavire "tant pis pour la campaillette du boulanger de Patton-La Bellangerais, j'abandonne" quand soudain, voilà qu'elle se met à tourner sur elle-même sept fois sans l'avoir voulu, sans avoir rien demandé. A la septième, elle ouvre les yeux et c'est dans la direction où ils regardent qu'elle va.
Sur son chemin elle trouve des vignes, des pins, une grande citadelle, beaucoup de remparts ; elle traverse des collines ; elle grimpe un beau matin jusqu'en haut du Mont Canigou ; elle assiste au lever du soleil ; elle y mange des sardines tout en haut du plus haut. De là elle aperçoit une tour ronde aux tuiles rouges. Elle dévale la montagne à travers toutes les hautes fougères qui la dominent. Elle arrive enfin au pied de la tour ronde aux tuiles terre. Elle regarde, visite, puis elle se souvient qu'elle est àla recherche du vent d'Autan. Où est-il celui-là ? Quelques vieux messieurs sont assis sur des bancs. Elle interroge. Ils rigolent tous "Vaut mieux ne pas le voir, le vent d'Autan, sinon on en aura pour 9 jours ma belle petite ! et il nous rendra tous fous !"
C'est à ce moment précis justement, et va savoir pourquoi fillette, que le vent d'Autan se lève avec force.
Il souffle même sur le Grand chêne de Gaillac,
qui donne ses glands
zioups la petite fille les ramasse et
les porte à Léonlecochon de Locuon
qui donne sa graisse
zioups la petite feuille la prend et la porte au grand forgeron de Pont-Réan
qui donne sa faux
zioups la petite fille prend la faux et la porte à la vache de la ferme des Gayeulles
qui donne son lait
zioups elle prend le pot et comme Perrette portant sur sa tête le pot de lait, elle porte le lait à sa mère
qui lui donne son pain
"Mais qu'est-ce que je te raconte-là fillette. Je me trompe. A Pont-Réan, quand elle est passée, le grand forgeron Guillaume, fumait à l'extérieur de sa forge. Il se reposait. Il rêvait. A une fille belle comme le jour. Justement, à force de chercher du pain la petite fille est devenue belle plus que belle. Quand il l'entend parler, elle l'enchante. Elle musique. C'est une fée. C'est magique. Le voilà tout remué le forgeron. Il est tout ébaubi. Il lui dit en riant "Arrête-toi , jeune fille, tu es trop belle, je t'embauche"
Il était beau, il avait des yeux bleus, elle s'est arrêtée.
Tu devines la suite fillette. Un vrai conte de fée. A ses côtés, elle s'est mise à créer de drôles de clous, des miroirs, des bijoux. Ils se sont épousés. Ils ont fabriqué une jolie petite fille. Et un jour ils sont allés la montrer à sa mamie. Là-bas, au pays. Quel pays ? Celui-ci ou celui-là ? Au fait tu es d'où fillette ? De partout, dit-elle de Gaillac, Toulouse, Patton-Rennes-LaBellangerais. C'est joliment dit. Merci Maëllis pour tes belles oreilles, ton joli sourire et ton beau regard et beau week end de Pâques à Patton-La Bellangerais. A Rennes.
El conte se acabo.
Ce 11 avril 2009

Merci Maëlis, au prénom breton, vivant à Toulouse, et en vacances à Rennes chez sa mamie de Gaillac

Il était une fois, à la Bellangerais, y'avait un boulanger, un fameux boulanger. L'avait pas son pareil pour faire sa tendre campaillette.

Dans la rue je marche tête basse. A fleur de sol je vois "La toulouzaine", la marque du rideau de fer. Plus haut dans la boutique colorée je remarque : le rideau de fer n'est pas encore levé. Je réfléchis. Tu n'as plus la pêche. Et tu ne vas pas compter trois pas au-dessus de la mendiante roumaine. Rebrousse poil. Dans le bus où je m'assieds, en face de moi bouge un délicieux imper orange, de petits yeux bruns et malicieux. Soudain tout pétille. Of cours, la petite fille a dit un mot magique Gaillac ! Inattendu et rigolo. Le mot me rappelle le stage de voix. C'est là qu'il sera. Tu es de Gaillac ? Tour du monde en un point d'interrogation. Elle sourit et sa mamie dit de Toulouse. Tu descends où ? Tu veux une histoire ? De petite fille ? Elle hoche la tête. Je pars. Elle me suit. Sa mamie aussi. Jusqu'à Patton-la Bellangerais.
Merci Maëlis, au prénom breton, vivant à Toulouse, en vacances à Rennes, chez sa mamie de Gaillac. Pour ma nouvelle version de "la P'tite Marie" qu'on t'a peut-être déjà lue. Merci

Emois....


Week end de Pâques :
L'oeuf était sous le Trèfle
L'Enfant cherchait dans le Champ
le Trèfle regarde l'Enfant
On le goûte ? dit l'Enfant
Croquements sous les dents
Enfant, Champ Trèfle goûtent gaiement
Trio de rires
Fait pas bon être un oeuf à Pâques
Trop bon le Chocolat
Zémois

vendredi 10 avril 2009

Moi Tortue parce qu'Elle fantaisiste


  • Me voient-ils* ?
    Improbable
    Je les vois tous les jours.
    Ils me rejoignent
    Je devrais dire
    "Ils nous rejoignent"
    Parfois en courant
    Parfois lentement
    Parfois seuls
    Parfois en groupes
    Parfois ils finissent
    de s'habiller
    de lire
    leurs journaux
    ou d'écouter les
    infos
    Parfois ils révisent lisent rêvent
    saluent ou
    quelle audace, entre eux, échangent, discutent !

    Me voient-ils ?
    Peu probable.
    Je suis
    si lencieuse
    Si tranquille
    Si habitudinaire
    Toujours présente
    Mon seul défaut
    Pour eux, je m'étale
    Ra ta ta plan
    Plan !
    Pardon, je n'en ferai pas tout un plan.

    Pourtant, je pourrais :
    On m'a figée
    On m'a multipliée
    On me montre tant
    qu'on ne fait plus cas de moi
    Sauf cas de force majeure

    Sauf elle.
    Elle, Impossible de lui échapper
    Elle m'adore
    Quand elle est arrivée ce matin
    j'ai cru
    un instant fou
    qu'elle me caresserait
    J'avais oublié ce reflet
    qui nous sépare
    J'ai kidnappé son
    regard
    sur cette vitre qui isole

    J'ai eu droit à son
    carnet embaumeur
    à son oeil fureteur
    à son stylo
    délateur

    et les mots ont fusé
    Allure générale : Rotondité Centre Ville et Périphérie
    Se prend la tête : entre ZI, de Petit Pré à Stade Rennais
    Ultime ramification : De Beaulieu Atalante à Rond Point de Bray jusqu'à Cesson Sévigné
    Extensions :
    MontGermont

  • Château de Vaux à Thorigné Fouillard

  • Vern sur Seiche

  • Saint-Jacques de la Lande à Campus Ker-Lan

Oeil à Petit Pré

J'ai un bon lignage, rotondités, belles lignées, j'avance lentement et sûrement dès que vous me reconnaissez. J'annonce le futur, j'y cours, j'y participe, grâce à vous qui comme elle, me déchiffrez, me reconnaissez. Mon prénom ?

Mon nom, si vous allez au-delà des apparences, comme cherche l'éléphant à l'oeil doux : HENABRI-BUS Reine


Incompréhensible ? Possible. Un p'tit conseil : y courir pour me découvrir. Elle est un peu facétieuse, fantaisiste c'est peu dire. Mais allez, ou puisque vous y êtes, ou y serez, ne me tournez pas le dos, faites-moi face : découvrez-moi.

Soit moi, Tortue, pour Elle qui me voit à chaque fois. et que je salue.

* ils comme Homme avec un grand H
Une clé : Sur le plan de Rennes, affiché en abri-bus, je ne peux m'empêcher de voir une tortue.

jeudi 9 avril 2009

Vidéo "textée" à propos de la vedette internationale 2008e

La Pomme de Terre et une étrange et nouvelle coupe de frites. YAKAKLIKER pour voir et entendre

Au fait comment s'appellent-elles ?

http://www.youtube.com/watch?v=8Z8TYKFUbFY


Et "C'est quoi ce bruit ?" qui m'a un instant seulement surprise.

C'était celui de la caméra de Martine; Remerciements chaleureux à elle qui me permet de vous la donner à lire.

Voyageuse 2ème



L'île s'étale
à plein champs
sous les deux chênes
à peine verts Elle allègre haut
des notes enjouées
Les passants la découvrent.
Ils rougent de l' île
colorée
Aujourd'hui elle se tait
sous la bruine
légère
Se souvient-il
chez lui
Le passant
qui suit
sur la vitre
le chemin d'une goutte d'eau ?
Se souvient-il
de l'allegro
de l'île ensoleillée ?

Dans le quartier
la goutte d'eau
mire
la jolie passante.
Puis s'étale Mo de ra to.

Tour, un petit tour... après les rues de Rennes

l'imprimerie, les imprimeurs, des rues, des ponts et même quelques enfants de Toulouse "Nougaro et Zebda" et j'espère aussi the Fabulous... et quelques autres. Toulouse : comme ce nom est doux à l'oreille quand on s'en est éloigné.
Jolie visite.

http://www.occitanie.org/imprimerie/chapitre1c.html

mardi 7 avril 2009

Voyageuse

Elle remonte la rue
Au carrefour
Plein soleil

Regard à droite
au fond du fond
cerisier roses et blancs
ainsi font font font
un extrait Japon

Regard à gauche
là-bas loin d'ici
tout pommiers blancs
ainsi font font font
un extrait Normandie

Où ça ?
disent les grenouilles.
En plein champ rennais

Trois pas en arrière
d'une seule enjambée
ainsi font font font
à la Criée
un extrait of London


On on on disent les grenouilles
above Tamise
off off off

C'était...
cet aujourd'hui
un peu frais
Ce lent demain
bien mouillé.
Déjà hier

8 avril 2009

dimanche 5 avril 2009

L'ordre du jour

Les claquettes ont
bien fait de
claquetter
L'enthousiasme
sur la pluie l'a
emporté
chacun se promène aujourd'hui
l'oeil radieux ravi
lèvres tout sourire
petits gâteaux pâtissiers en mains
prend en terrasse petits blancs
Les jardinières jouent
la gueule de loup
C'est le bonheur dans le quartier
les flâneurs s'en vont déjeuner
d'autres flâner
IA+KADKOLLER
Décollez
C'est l'ordre du jour.

C'est parti.
4 avril 2009

La finance islamique, c'est possible, ça existe....

et d'ici deux ans des fenêtres de finance islamique seront ouvertes dans ls banques telles que la Caisse d'Epargne pour respecter l'éthique de la "Scharia". Sur le mode "on ne nous dit pas tout" là "tout nous fut dit" et par par n'importe qui, des grands : Madame Lagarde, Monsieur De la Ramée...
Pourquoi pas apprendre effet que grâce à ça AirBus déplantera Boeing dans les pays du Moyen Orient -je ne suis pas trop douée, je fais un résumé- ? Pourquoi pas apprendre que la Schâria rejoint certain fondement de notre droit général ;
pourquoi ne pas apprendre en effet que la finance islamique condamne le hasard et la spéculation ? Que la finance musulmane servira à l'ensemble des citoyens français à la recherche de produits éthiques ?
Je me posais quelques questions,
car je connaissais l'interdit de l'intérêt et je savais qu'une femme autre que musulmane, mariée avec un musulman doit renoncer à la part d'héritage venant de son père.
C'est une chose d'être un entrepreneur ; une autre d'être un humain lamda, femme qui plus est.
Je m'interroge. Et vous ? Je précise que l'argent est un sujet qui me épasse : ma situation personnelle en est l'illustration. Je précise que le système du sel me dépasse aussi. J'ai été élevé au vrai "je te donne parce que je peux donner et je ne te demande rien en échange et je ne t'en reparlerai plus"
Ethique ou manipulation ?
L'important c'est de se poser la question.

samedi 4 avril 2009

Recette pour faire une triste journée

Simplissime
ouvrir ses volets
découvrir les reflets
entendre les Lopdun chuchoter
froncer les sourcils
ça y est vous désespérez
à vous recoucher ?


Faut-il faire une triste journée ?
sourcils froncés
ridé à désespérer

Plutôt se pencher
sur les semis
les voilà ravis ils ont grandi
sous le trésor la pluiiiiiiiiiiiie

sur le calice
du premier volubilis
violet à vous faire plonger

sur le parfum des freesias hampés
Au balcon ils se penchent
et se réjouissent
les claquettes dansent

Triste journée ?

enfilez vos souliers de pluie
Claquettez à votre tour ou valsez
Trop dur de faire une triste journée

Enfants aux grands yeux, retrouvez mes contes préférés

sur http://danslestempsanciens.blogspot.com
Ils sont pour vous.

Bonjour, chez moi à Rennes aujourd'hui samedi

au 02.99.38.67.57
je n'y suis pas
Qui répondra ?
Ray Pondheur
Mon fidèle serviteur
il vous accueillera
N'aurez plus qu'à l'écouter


Ne soyez pas troublé si vous n'y trouvez pas
ce que
voyez vous-même
par votre lucarne
ailleurs qu'à Rennes
aujourd'hui

Belle journée à tous, et chacun chacune
signé, LaKonteuse

vendredi 3 avril 2009

Rennes, la Bretagne et les contes c'est pour bientôt


Après son passage en février au Melti Potes à Rennes en compagnie de Lania, Azedine a été invité à conter au Maroc ses "Mille et unes nuits" à lui.
Pour voir le compte rendu, il vous suffit de coller le lien donné dans la barre de votre navigateur.

http://www.lesmilleetunenuitsdazedine.blogspot.com/

Bonne lecture
Lania

jeudi 2 avril 2009

L'Association ANE à St Jacques de la Lande, programme

le dimanche 5 avril une promenade asine dans le parc de La Gautrais, à St Jacques de la Lande. Pour en savoir davantage, copier-coller le lien suivant :
http://lezane2lalande.blogspot.com/
Et si vous avez des enfants, n'hésitez : entre Isablle, Caramel et les autres, des ânes, ils en verront et dans leur cariole, ils monteront.