mardi 30 avril 2019

Maison du Ronceray - 12ème Scènes ouvertes (4 par an)

Bonjour.

C'était déjà hier, le vendredi 8 février.


Vendredi 8 février 2019 à 20h30. Gratuit.

L'ambiance était délicieusement festive et totalement agréable. 
Ceux qui le désiraient, ceux qui et celles qui désiraient oser, ont osé : moi de même, amicalement sollicitée.  
L'initiative était bienvenue ! 
Aucun regret d'y avoir participé.
J'ai beaucoup reçu moi-même. 
Je voulais faire rire : je crois que j'y suis arrivée. 
Sacré Faïvel, va. Hassidit à papillotes qui s'était perdu à force de s'éloigner des autres et d'apprendre tout seul. 
Ou comment se retrouver soi-même ? 
C'est clair ça fait toujours un peu mal, mais on en rit. Alors on se rend compte qu'on est guéri d'une maladie qu'on ne savait pas porter en soi. 
autour de C'est la vie, chanson des Enfants Terribles le groupe "Cabaretus" nous a emmené-mené-régalé d'une endiablée et délectable ambiance musicale et théâtrale aux foulards arc-en-ciel.
Les poètes et les chanteurs se sont succédés, tous avec talent.
Un vrai plaisir. 

Le savez-vous, l'équipe cherche à renouveler ses collaborateurs. Ne pas hésiter à prendre contact avec La Maison du Ronceray 








Question magique : YaKaKliKer, le retour

Votre enfant ou petit-enfant fait un caprice : le gronder ne sert à rien, sinon à l'énerver davantage. Posez-lui la question magique




J'adore cette photo. Elle me rappelle le seul vrai caprice qu'ait fait notre fils Guillaume sous les yeux de sa grand-mère, honteuse comme pas deux. 
Elle voulait  aller lui acheter ce que je ne voulais pas lui acheter. Je le lui ai interdit. 
Elle m'a obéi en me disant  
"Tu n'as pas honte Toi !" 
"Non Maman, je n'ai pas honte... !" 
Et depuis ce jour je crois que je me demandais tant  "Mais c'est quoi la honte ?" qu'un autre jour, j'ai demandé à sa soeur -15 ans d'écart- qui me parle du sentiment de honte -  d'aller chercher 1 kg ou 10 grammes de honte chez l'épicier de notre quartier,  persan, philosophe et conteur dans la foulée. 
C'était un dimanche. Elle en revient la tête déconfite : 
"Il m'a dit que ça n'existait pas Maman !"
Le lendemain, je suis passée à l'épicerie. Je crois que l'Épicier espérait mon passage. Il m'a dit 
"Il n'y a que vous pour faire ça !" 
J'ai éclaté de rire et on a bien ri du "ça".
Et moi, depuis, j'espère bien n'être pas la seule à penser comme ça. La honte... comme l'amour... ça n'existe pas. À moins qu'on ne se mette à les vivre. À savoir ce qu'on en tire.