Un darvoud dreistordinal a vo fenoz (8° 45) en ur Stad Frans kinklet gant bannieloù gwenne-ha-du a-vil-vern. Evit ar wech kentan, daou skipail deuet eus Breizh a c'hoario an eil ouzh egile e gourfenn Kib Frans. Ent reizh e tlefe ar maout mont gant skipailh Roashon met kigennoù a-walc'hzo gant Gwengampiz evit ch'hoari un dro-gaer dic'hortoz (Pajennoù 4 da 7)
Je dédie ce texte à la seule supportrice rennaise que je connaisse : Marie-Thérèse. Je comprends en la côtoyant, ce que peut être une vocation amicale. Et je n'oublie pas que le challenge est d'importance : le club qui gagnera recevra 700 000 euros. Oui, je l'écris une nouvelle fois sept cent mille euros ! Au fait, où est-il mon Dédé à gratter ? Mince, Zéro Euro.
Pourquoi je ne traduis pas : "parce que j'en suis incapable, parce que j'ai perdu la colonne "en langue nationale", parce que lorsque je ne connais pas j'aime bien "entrer dedans "m'imprégner !"
Au fait, petit conseil pour me faire pardonner la mise en page un peu fantaisiste. Aucune volonté là dedans : lire l'article qui précède celui-ci en partant du dernier paragraphe (qui devient premier) . Sinon les commentaires photos font désordre.
Bon match. A tout à l'heure sur l'Esplanade de la Liberté en rouge et noir. Comme tous les petits bonhommes des carrefours. S'il vous plaît !
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