Celle du Roi Schâryar et de ses démélés avec sa femme, les autres femmes avec lesquelles il s'en venge et et ses emmêlées-mêlement avec la somptueuse, astucieuse et subtile Schâhârâzâde.Ci-dessous, un court extrait de l'histoire des Babouches d'Abou Khacem avec Lania
Suivirent, les mésaventures d'un bourreau qui se désespère de se voir ôter ses candidats à la pendaison ; d'un cheval qui s'envole à la poursuite d'une abeille, d'un pet ô combien retentissant, et du trésor du pont d'Ispahan. Au final, festivités toutes, décrêtées par le roi Schârayar lui-même.
Je garde en mémoire les re-trouvailles inattendues grâce aux bla-bla bus spontanés, les adresses échangées pour se retrouver habitantes d'une même rue, le goût de la galette aux Saint Jacques, hum merci Christelle, les délicieuses Havana et amie d'Havana, Alice et la rieuse pitchounette Fanette. L'intérêt de déposer des affiches et des flyers. A vous tous et toutes, qui vous êtes déplacé(e)s dans ce quartier discret, Azedine et moi-même offrons nos remerciements ainsi qu'à vous monsieur le correspondant de Ouest-France.
Où une veste jaune ne passa pas, mots compris, inaperçue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire