Les Transat c'est comme ça, parfois on y va en avion : c'était le cas ce soir.
Parfois on n'y trouve pas son transat alors on fait Pot-pot : c'était le cas ce soir.
Tout y tourne sur cette place en demi-cercle, les nuages font de même.
Les stores étonnés n'arrêtent pas de se déplier-plier.
Thomas, fan affirmé des ZLOT sur ma gauche, connaissait les paroles par coeur !
Virginie, en robe noire et roses rouges, est un peu coccinelle (coquine, elle) et formidable, cette femme réussie élégamment à être homme-orchestre. Elle me dit qu'elle devient conteuse et amusant, je découvre qu'elle s'appelle "Coze". Laurent réussit formidablement à être homme : guitarre en main, il est excellent et je regrette de n'avoir pu prendre davantage de photos de lui. Par conséquent il me reste à utiliser les mots pour dire ma frustration -pour cause de mémoire saturée : oh la la appareil photo s'entend- de n'avoir pu vous montrer le jeu des castagnettes, celui des pochons plastifiés, instrument de musique sûrement breveté Virginie Coze, les textes per ou imper-tinents et la belle entente humouristique, subtile, souriante, énergique, déjantée et communicative de ces deux-là. Applaudissements nourris. La vie est belle, la vie est belle, la vie est belle. Je parlerai de cet enfant qui portait un tout petit appareil photo en plastique sur sa poitrine et qui emballé par cette énergie est monté sur un plot pour les prendre dans son objectif, tout heureux, ainsi que de cette toute plus petite qui dansait emportée par la rythmique endiablée. Les Transat, c'est en famille et c'est sympa.
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