lundi 5 mars 2012

Ce dimanche 3, entre frustrations, poursuites et ouvertures

Frustrations, parce que le choix était grand. Mais les étagères si pleines que l'achat de la "liseuse" revenait en question. Vite remis en cause par l'ouverture des ouvrages et la dégustation de leur mise en page ou de leurs illustrations. Pas plus difficile que la visite d'un Salon du Livre ! Opinion perso.

J'ai donc poursuivi ma déambulation dans la "Rue des Livres" et ai reconnu les calligraphies présentes dans l'une des pièces du projet "Musée Ephémère". Petite discussion "à pinceaux rompus" avec le souriantMohamed Idali au geste calligraphique impressionnant.
J'ai cédé.


Je me promène aujourd'hui parmi les 5o noms de l'amour à découvrir dans "Le jardin des amoureux" d'Al-Iman Ibn Qayyim al-Jawziyya. Un plaisir gourmand.

Bonjour ici, bonjour là, il faut bien s'échapper. Mais pas forcément au moment de la tempête ! C'est pourtant l'instant que je choisiS. L'expression "trempée jusqu'aux os" prendra tout son sens y compris pour le chapeau, au lilium si arrosé qu'il aurait pu en perdre pistil et pétales. Quel chapeau ! Quel pouvoir ! Il tourne la tête à tous les hommes que sa propriétaire croise !

Finalement le soleil pointe son nez. Bien séchée, p'tit tour pour le fun aux Champs Libres avec Sylvie et découverte de l'accordéon et du tango dans leurs proximités. Un joli moment bien partagé.
Sympa le dimanche. Et comme dirait Claude Lelouch questionné sur ce qu'il faudrait faire actuellement. Réponse, de mémoire, "il faut faire la fête gratuitement*.... et réfléchir ensemble !" Reste à réfléchir.

Rien n'est gratuit. Pourquoi les artiste ne seraient-ils pas rémunérés ? Rien n'empêche d'utiliser le joli mot "gracieux"

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