s'il manquait le petit pain doux chaud et sucré de Monsieur Larroque le boulanger de la place des cornières, il ne manquait pas la vision de ce repas qui n'avait rien d'invisible.
J'ai oublié dans le texte précédent de remercier notre délicieuse hôtesse, de notre
soirée contes partagés chez l'habitant.
Alors je la remercie mille fois, n'étions-nous pas 25 ou peut-être même 28, pour ce temps passé à bichonner nos papilles et nos yeux : je pense au bouquet de radis.
Nous avons "refusé" à regrets, le café qu'elle nous proposait si rieusement. Voici un petit poème sur ce thème, qui n'aurait pu être dit sans la création de Carl Norac. (dont j'ai surpris le nom dans le générique du fil, Deux jours, une nuit")
Soyez curieux, découvrez-le. Il paraît qu'il écrit pour les pitchoux.
Le moulin à café (pour voir apparaître le moulin à café, cliquer sur le lien)
Dans un petit moulin
un moulin à café
le temps passait
le temps passait
Et du soir au matin
on voyait par dessus
le temps moulu
le temps moulu
Dans une petite tasse
une tasse à café
le temps coulait
le temps coulait
De profil et de face
on voyait dans la tasse
le temps tassé
le temps tassé
J'ai bu le café
brûlant
il faut bien passer
le temps
Carl Norac - le moulin à café
Je n'ai pas oublié le prénom de notre hôtesse. Mais je sais être discrète. J'ai déjà trop donné d'informations.
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