Comment cela est-il possible ? Pourtant elles sont bien là, arrivées une à une, formant troupeau
se déplaçant à la nuit
s'étonnant des étranges baobabs (encore plus rigides que chez nous dit donc didou ! )
comme d'une autre espèce de girafe. Plus grande encore que nous ?
s'étonnant des étranges baobabs (encore plus rigides que chez nous dit donc didou ! )
comme d'une autre espèce de girafe. Plus grande encore que nous ?
T'as vu sa bouille, comme elle est ronde ! Vraiment ronde ! ... difficile à croire !
A en tirer les langues bleue, comme chacun sait que ces grandes ont.
Quel aplomb. Etrange transhumance. C'est à n'en plus douter :le climat se réchauffe.
Y aurait-il danger à ébruiter le fait ? Quel fait ? Parlons-en. Car enfin, tout de même, il est bien là. Certes, il s'est inscrit tout doucement dans le paysage. Oui. Centimètre après centimètre. Tâche après tâche (comme dirait le refrain de la chanson). Silencieusement. Et ça s'explique. Coloré. Et c'est étrange. Je le sais deupis peu moi-même. Mais après tout, qui ne sait que parfois les oranges sont bleues ? Je sens que vous brûlez de me répondre. Non ? Comment non ! Le fait est pourtant bien inscrit aujourd'hui dans notre paysage. Il n'y a tout de même pas que votre rédactrice à les avoir remarquées. Dois-je vous donner un indice ? Le fait est qu'elles sont bien là. Hautes, fières, distantes. Prenant recul sur tout. Surtout sur les embouteillages pas Morrand et très STAR, dès 19 h hier au soir, précisément quand chacun, chacune revient de Saint Vrébin les Sinp. N'est-ce pas, Mademoiselle au pull très joliment théière acidulée ? Joli, votre pull. Et les glaces, c'est bon, même pour s'admirer (Clin d'oeil, silence, juste entre nous et votre Maman, et la gentille dame Dakoté, comme une connivence) Quant au fait, revenons-y, comment peut-il échapper à quiconque ? Il y en a tout un troupeau entier. Et on n'en parlerait pas ? Parlons-en. Ebruitons. Courage. La rédactrice n'en manque pas. Merci. C'est Fée.
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