2008, c'est l'année internationale de la Pomme de Terre.
Majuscule s'il vous plaît, pour le Tubercule qui décline ses variétés par centaine : les histoires ne manquent pas, les chansons non plus, de quoi avoir une pêche doublée de frites jusqu'aux fish-and-chips qui inondent en ce moment, en papier glacé, les tablées de la restauration rapide.
Ainsi un beau jour de cette belle année, un appel téléphonique interpelle Lania
"Lania, avez-vous des contes sur la Pomme de terre ?"
Pas même l'ombre d'un tubercule en main, pas même celle d'une radicelle, pas même celle d'une pelure, peut-être cependant des noms de recettes qui bousculent dans l'instant ses neurones.
La réponse est immédiate "oui, j'en ai plein"
L'affaire est conclue.
Et un fameux livre de recettes qu'elle possède, ouvert, le combiné raccroché. Oui, son téléphone était encore "en combiné" Image déjà chaude pour le tubercule un rien coquin.
Voilà la part d'histoire dans l'histoire.
Voilà comment Lania a débarqué dans l'univers du tubercule.
Ainsi peut-elle en "causer", sans conférence et vous emmener de rives du lac Titicaca -qui en Pérou un temps n'exista pas- jusqu'en avenue New-Yorkienne pour cause d'exigences d'un certain Cornélius Van der bilt. en escales 'île de Chiloé, Espagne, pays Lissou, Allemagne (avec ou sans Parmentier, prisonnier et laborantin prussien devenu pour fait de guerre), France par désir amoureux terre à terre et Irlande pour une belle légende.
Mensonge ou vérité, la question n'est pas à poser. Vous qui lisez, vous le saviez.
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Pour le peintre sus-nommé, Michel DEVAUX YakaKliKer sur le lien que vous venez de dépasser. Belle visite, jolies découvertes et vive la joie de la photo de famille Pomme de Terre incluse.
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