Je n'ai ni vu ni entendu les enfants rire et sauter de plaisir. J'en avais à côté, devant et derrière. Peut-être que la salle et l'écran étaient trop petits.
Il n'y a pas eu de vague de rire phénoménale. Du style de celle survenue lors du coup de pistolet, passé d'une botte par la fenêtre d'un train, dans un célèbre western spaghettis.
Je parierai bien, par contre, que la musique qui clôture le film pourrait faire un tube sur les pistes de danse des boîtes de nuit, l'été prochain. Bref, j'engage vivement les jeunes parents à lire l'édition originale, de Jonathan Swift. Pour voyager plus et davantage, même en ne s'attardant que sur les images. Et ce sans nostalgie.
Un regret qui me reprend à chaque séance de cinoche : a-t-on vraiment besoin que le son soit si élevé. Limite insupportable. Plaisant ? Pas vraiment. Précision : pas du tout. Mais je l'avoue, c'est à ma jauge. Alors jaugeons, voulez-vous ?
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