Je n'ai ni vu ni entendu les enfants rire et sauter de plaisir. J'en avais à côté, devant et derrière. Peut-être que la salle et l'écran étaient trop petits.
Il n'y a pas eu de vague de rire phénoménale. Du style de celle survenue lors du coup de pistolet, passé d'une botte par la fenêtre d'un train, dans un célèbre western spaghettis.
Je parierai bien, par contre, que la musique qui clôture le film pourrait faire un tube sur les pistes de danse des boîtes de nuit, l'été prochain. Bref, j'engage vivement les jeunes parents à lire l'édition originale, de Jonathan Swift. Pour voyager plus et davantage, même en ne s'attardant que sur les images. Et ce sans nostalgie.
Un regret qui me reprend à chaque séance de cinoche : a-t-on vraiment besoin que le son soit si élevé. Limite insupportable. Plaisant ? Pas vraiment. Précision : pas du tout. Mais je l'avoue, c'est à ma jauge. Alors jaugeons, voulez-vous ?
lundi 28 février 2011
samedi 19 février 2011
Le gros Sultan et l'Oiseau impertinent -3ème-
Plumé bien plumé l'Oiseau et toujours chanteur. Car il chante encore. Il dit "J'ai toujours de la chance, . Je voulais être douché et on m'a douché et même massé. Il est gentil le Sultan qui fait pour moi comme pour son enfant ! Merci Sultan"
Le Sultan en a assez de cet Oiseau qui chante. Il ne veut plus l'entendre et il interpelle le cuisinier "Cuisinier fais donc taire cet oiseau de malheur !"
Le cuisinier ne s'est pas gêné. Il s'est adressé à l'oiseau "Sale Oiseau de malheur qui ne veut pas cesser de chanter, regarde un peu comme je vais t'y obliger" Et sur ce faut voir comme le cuisinier lui arrache ses dernières plumes ; faut voir comme il lui brûle ses derniers duvets ; faut voir comme il étire sa gorge et lui fourre-enfonce, de ses doigts boudinés des tronçons de fenouil, des baies de genièvre, des morceaux de piment, des baies de raisin, des épices, du cumin jusqu'au dernier bouquet parfumé, au thym-laurier. Fourré jusqu'au silence !!
Quelle erreur. L'Oiseau fourré, plumé, ébouillanté, décapité continue de chanter "Je suis chanceux, me voilà parfumé, lotionné thym-laurier. Sultan tu as bon goût. Tu dois avoir bien faim !"
Le Sultan l'entend. Il hurle "Cuisinier fais-moi taire cet oiseau de malheur, sinon..."
Sinon ? Le cuisinier n'hésite pas, il attrape l'Oiseau et le jette-plonge dans une marmite où chauffe un bouillon déjà fameux.
Ouf, l'Oiseau se tait. Le silence est réconfortant.
C'était trop penser.
L'Oiseau mijotant, fourré, plumé, ébouillanté, décapité se remet à chanter. "Quelle chance, me revoilà au hammam. Hum Sultan comme il sent bon ton bouillon, comme il me plaît ton brouillard. Vas-y Sultan rajoute du bois !"
Le Sultan est exaspéré. "Cuisinier, fais le taire, sinon..."
Le cuisinier n'hésite pas. Il bombarde l'Oiseau de petits pois.
Contre toute attente l'Oiseau est ravi. Et contre toute attente l'Oiseau bombardé, hammamant, fourré, plumé, ébouillanté, décapité que pensez-vous qu'il fasse ? Oui, il chante. Il dit "Waouh voilà qu'on m'offre mon jeu préféré le jeu de billes. Merci Sultan, tes gens sont de bonnes gens !"
"Cuisinier !" hurle le Sultan, "fais-le taire sinon..."
Le cuisinier n'hésite pas, il présente la tajine au Sultan qui la goûte.
Il la goûte yeux fermés. Cette tajine à Loiseau est délicieuse. La sauce est d'un grand velouté, d'un fameux fondant, d'une belle saveur. A se damner. C'est le bonheur. Dommage que le bonheur soit épuisé. Le Sultan a tout mangé.
Dommage pour le Sultan. Soudain il souffre. Son ventre lui fait mal, boute selle, boute selle, son ventre lui fait mal à le plier, à le déplier, le replier, mais rien n'y fait. Le Sultan souffre. A pleurer. L'Oiseau lui, se met à chanter "Quel ventre, Sultan, ce n'est pas en ventre, c'est une piste de danse ! Je m'y prélasse et j'y danse. C'est un palace !"
"Cuisinier, fais-le taire, fais-le taire !"
Le cuisinier va chercher un médecin. Pendant ce temps le Sultan souffre. Il se plaint à voix haute, à grands cris, à bouche que veux-tu. Si grande ouverte que l'Oiseau pointe son bec, ouvre ses ailes et s'envole.
Il s'envole et se moque : par-dessus le palais, par dessus la palmeraie, par-delà l'oasis, par-dessus la grande place. Et tout le monde se rassemble pour l'écouter. Le Sultan gros et gras est méchant. Il ne veut pas qui il ne veut pas quoi. Ce Sultan ne doit pas rester là. Et tout le monde fais partir le Sultan.
Après tout peut-on empêcher les oiseaux de voler ? C'est clair, c'est non. C'est non, c'est net. (19 O2 11 - adaptation de "Le Sultan obèse et l'oiseau impertinent", édition GRUND)
Le Sultan en a assez de cet Oiseau qui chante. Il ne veut plus l'entendre et il interpelle le cuisinier "Cuisinier fais donc taire cet oiseau de malheur !"
Le cuisinier ne s'est pas gêné. Il s'est adressé à l'oiseau "Sale Oiseau de malheur qui ne veut pas cesser de chanter, regarde un peu comme je vais t'y obliger" Et sur ce faut voir comme le cuisinier lui arrache ses dernières plumes ; faut voir comme il lui brûle ses derniers duvets ; faut voir comme il étire sa gorge et lui fourre-enfonce, de ses doigts boudinés des tronçons de fenouil, des baies de genièvre, des morceaux de piment, des baies de raisin, des épices, du cumin jusqu'au dernier bouquet parfumé, au thym-laurier. Fourré jusqu'au silence !!
Quelle erreur. L'Oiseau fourré, plumé, ébouillanté, décapité continue de chanter "Je suis chanceux, me voilà parfumé, lotionné thym-laurier. Sultan tu as bon goût. Tu dois avoir bien faim !"
Le Sultan l'entend. Il hurle "Cuisinier fais-moi taire cet oiseau de malheur, sinon..."
Sinon ? Le cuisinier n'hésite pas, il attrape l'Oiseau et le jette-plonge dans une marmite où chauffe un bouillon déjà fameux.
Ouf, l'Oiseau se tait. Le silence est réconfortant.
C'était trop penser.
L'Oiseau mijotant, fourré, plumé, ébouillanté, décapité se remet à chanter. "Quelle chance, me revoilà au hammam. Hum Sultan comme il sent bon ton bouillon, comme il me plaît ton brouillard. Vas-y Sultan rajoute du bois !"
Le Sultan est exaspéré. "Cuisinier, fais le taire, sinon..."
Le cuisinier n'hésite pas. Il bombarde l'Oiseau de petits pois.
Contre toute attente l'Oiseau est ravi. Et contre toute attente l'Oiseau bombardé, hammamant, fourré, plumé, ébouillanté, décapité que pensez-vous qu'il fasse ? Oui, il chante. Il dit "Waouh voilà qu'on m'offre mon jeu préféré le jeu de billes. Merci Sultan, tes gens sont de bonnes gens !"
"Cuisinier !" hurle le Sultan, "fais-le taire sinon..."
Le cuisinier n'hésite pas, il présente la tajine au Sultan qui la goûte.
Il la goûte yeux fermés. Cette tajine à Loiseau est délicieuse. La sauce est d'un grand velouté, d'un fameux fondant, d'une belle saveur. A se damner. C'est le bonheur. Dommage que le bonheur soit épuisé. Le Sultan a tout mangé.
Dommage pour le Sultan. Soudain il souffre. Son ventre lui fait mal, boute selle, boute selle, son ventre lui fait mal à le plier, à le déplier, le replier, mais rien n'y fait. Le Sultan souffre. A pleurer. L'Oiseau lui, se met à chanter "Quel ventre, Sultan, ce n'est pas en ventre, c'est une piste de danse ! Je m'y prélasse et j'y danse. C'est un palace !"
"Cuisinier, fais-le taire, fais-le taire !"
Le cuisinier va chercher un médecin. Pendant ce temps le Sultan souffre. Il se plaint à voix haute, à grands cris, à bouche que veux-tu. Si grande ouverte que l'Oiseau pointe son bec, ouvre ses ailes et s'envole.
Il s'envole et se moque : par-dessus le palais, par dessus la palmeraie, par-delà l'oasis, par-dessus la grande place. Et tout le monde se rassemble pour l'écouter. Le Sultan gros et gras est méchant. Il ne veut pas qui il ne veut pas quoi. Ce Sultan ne doit pas rester là. Et tout le monde fais partir le Sultan.
Après tout peut-on empêcher les oiseaux de voler ? C'est clair, c'est non. C'est non, c'est net. (19 O2 11 - adaptation de "Le Sultan obèse et l'oiseau impertinent", édition GRUND)
Le gros sultan et le petit oiseau -I-,
Y avait-il, n'y avait-il pas ?
Loin loin loin
il y a long longtemps
dans un pays de sable et de vent vivait un sultan.
Il portait de lourdes robes d'ottoman. Pour cacher ses rondeurs. De longues aigrettes piquées dans son turban. Pour faire croire qu'il était grand.
Il faut le dire, le Sultan était un gourmand. Son pêché mignon, la tajine. Une tentation à laquelle il cédait toujours.
La seule vision d'un de ces petits plats de terre, au fameux couvercle pointu décoré et verni, le mettait en appétit. Son appétit se manifestait dès son lever.
Sitôt bu son verre de lait de chamelle et avalé son petit pain blanc rond et chaud tartiné de confiture aux pétales de rose, le Sultan espérait la tajine du midi.
Sitôt dégustée la tajine du midi, il espérait la tajine du soir
Et il se retenait pour ne pas instaurer, loukoumisée, la tajine du seize heure.
Tajine. Au seul prononcé de ce mot le Sultan défaillait. Chavirait. S'évanouissait.
Tajine aujourd'hui, tajine demain.
Tajine aux amandes et à l'agneau.
Tajine à l'agneau et au pruneau. De tajine en tajine, il faut bien le dire, le Sultan s'étoffe dangereusement.
Il faut bien le dire, il faut bien le dire... Facile à dire, car dans le sultanat du Sultan gros et gras il ne fallait surtout pas dire. Pourquoi ?
Parce que quiconque le disait, avait a la langue coupée. Quant au premier, qui l'avait dit ailleurs que dans le sultanat, il avait été pendu haut et court pour exemple. Dès sa pendaison, le Sultan avait fait entourer son sultanat de hauts murs et portes infranchissables.
Ainsi, chaque habitant du sultanat était-il prisonnier et quasi-muet sous la terreur d'avoir la langue coupée.
Un jour le Sultan déjeuna. Il dégustait son thé à la menthe. Son assiette de dattes. Quand soudain une voix se mit à chanter "Le riche Sultan déjeune, je suis riche comme le Sultan. Les gens du Sultan ont peur de lui. Le Sultan est méchant. Je n'ai pas peur du Sultan han han han !"
"Garde" a dit le Sultan "Monte voir sur le toit qui parle ainsi"
Quelques minutes plus tard le garde se courbait devant le Sultan et le Sultan apprenait que ce n'était qu'un petit oiseau de rien du tout. "Sultan, qui porte un collier avec un grain de blé dans un médaillon"
"Garde je veux ce grain de blé"
Quelques minutes plus tard le Sultan saisissait le médaillon, mais la voix s'égosillait "A bé zut flûte alors, le Sultan m'a volé mon grain de blé. Sultan tu es méchant et voleur."
"Garde" dit le sultan vexé "rend son grain de blé à l'oiseau !"
Le garde remonte et redescend. Derrière lui l'oiseau re-s'étonne "C'est qui, fait quoi ce sultan ? Il prend. Il rend. Il ne sait pas ce qu'il veut, c'est un pauvre vieux !"
"Pauvre vieux, pauvre vieux, garde..." Hurle le Sultan en colère.
...
Loin loin loin
il y a long longtemps
dans un pays de sable et de vent vivait un sultan.
Il portait de lourdes robes d'ottoman. Pour cacher ses rondeurs. De longues aigrettes piquées dans son turban. Pour faire croire qu'il était grand.
Il faut le dire, le Sultan était un gourmand. Son pêché mignon, la tajine. Une tentation à laquelle il cédait toujours.
La seule vision d'un de ces petits plats de terre, au fameux couvercle pointu décoré et verni, le mettait en appétit. Son appétit se manifestait dès son lever.
Sitôt bu son verre de lait de chamelle et avalé son petit pain blanc rond et chaud tartiné de confiture aux pétales de rose, le Sultan espérait la tajine du midi.
Sitôt dégustée la tajine du midi, il espérait la tajine du soir
Et il se retenait pour ne pas instaurer, loukoumisée, la tajine du seize heure.
Tajine. Au seul prononcé de ce mot le Sultan défaillait. Chavirait. S'évanouissait.
Tajine aujourd'hui, tajine demain.
Tajine aux amandes et à l'agneau.
Tajine à l'agneau et au pruneau. De tajine en tajine, il faut bien le dire, le Sultan s'étoffe dangereusement.
Il faut bien le dire, il faut bien le dire... Facile à dire, car dans le sultanat du Sultan gros et gras il ne fallait surtout pas dire. Pourquoi ?
Parce que quiconque le disait, avait a la langue coupée. Quant au premier, qui l'avait dit ailleurs que dans le sultanat, il avait été pendu haut et court pour exemple. Dès sa pendaison, le Sultan avait fait entourer son sultanat de hauts murs et portes infranchissables.
Ainsi, chaque habitant du sultanat était-il prisonnier et quasi-muet sous la terreur d'avoir la langue coupée.
Un jour le Sultan déjeuna. Il dégustait son thé à la menthe. Son assiette de dattes. Quand soudain une voix se mit à chanter "Le riche Sultan déjeune, je suis riche comme le Sultan. Les gens du Sultan ont peur de lui. Le Sultan est méchant. Je n'ai pas peur du Sultan han han han !"
"Garde" a dit le Sultan "Monte voir sur le toit qui parle ainsi"
Quelques minutes plus tard le garde se courbait devant le Sultan et le Sultan apprenait que ce n'était qu'un petit oiseau de rien du tout. "Sultan, qui porte un collier avec un grain de blé dans un médaillon"
"Garde je veux ce grain de blé"
Quelques minutes plus tard le Sultan saisissait le médaillon, mais la voix s'égosillait "A bé zut flûte alors, le Sultan m'a volé mon grain de blé. Sultan tu es méchant et voleur."
"Garde" dit le sultan vexé "rend son grain de blé à l'oiseau !"
Le garde remonte et redescend. Derrière lui l'oiseau re-s'étonne "C'est qui, fait quoi ce sultan ? Il prend. Il rend. Il ne sait pas ce qu'il veut, c'est un pauvre vieux !"
"Pauvre vieux, pauvre vieux, garde..." Hurle le Sultan en colère.
...
Le gros sultan et le petit oiseau - 2-
"Pauvre vieux pauvre vieux" le sultan est en colère. Il appelle le garde et il dit "Garde cet oiseau bavard me traite de vieillard, coupe-lui le cou et porte-le aux cuisines pour qu'on le prépare en tajine" A ce seul mot le Sultan défaille, pendant que là-haut, un oiseau perd son cou et que son sang rosit ses plumes autour de sa blessure. Pauvre oiseau.
Pauvre oiseau pauvre oiseau. Incroyable, l'oiseau sans tête se met à chanter. Il remercie le Sultan "Ô Sultan merci pour ton collier rubis. Il est très joli. Ô Très Haut, merci pour ce cadeau"
"Faites le taire" dit le Sultan "Préparez-le en tajine"
Tajine ? Le Sultan a prononcé le mot merveilleux. Le sultan défaille. "Tajine aux amandes et à l'agneau, tajine à l'agneau et aux pruneaux, tajine à l'oiseau oh oh oh" Laissons-là le Sultan défaillir et courons aux cuisines.
Dans la cuisine l'eau danse dans la marmite. Le cuisinier verse l'eau sur l'oiseau. Pour l'ébouillanter et le plumer.
Pour être plumé l'oiseau est plumé : plumes bleues par-ci,plumes vertes par là, plumes jaunes, plumes vertes, voilà un oiseau bien déplumé.
Et bruyant. L'oiseau ébouillanté, décapité, l'oiseau chante !...
Pauvre oiseau pauvre oiseau. Incroyable, l'oiseau sans tête se met à chanter. Il remercie le Sultan "Ô Sultan merci pour ton collier rubis. Il est très joli. Ô Très Haut, merci pour ce cadeau"
"Faites le taire" dit le Sultan "Préparez-le en tajine"
Tajine ? Le Sultan a prononcé le mot merveilleux. Le sultan défaille. "Tajine aux amandes et à l'agneau, tajine à l'agneau et aux pruneaux, tajine à l'oiseau oh oh oh" Laissons-là le Sultan défaillir et courons aux cuisines.
Dans la cuisine l'eau danse dans la marmite. Le cuisinier verse l'eau sur l'oiseau. Pour l'ébouillanter et le plumer.
Pour être plumé l'oiseau est plumé : plumes bleues par-ci,plumes vertes par là, plumes jaunes, plumes vertes, voilà un oiseau bien déplumé.
Et bruyant. L'oiseau ébouillanté, décapité, l'oiseau chante !...
Thaï Shogun et tai taï taï taï.... elles s'en allaient là-haut sur le Mail....
Au bord du quai, un navire
Dans le navire un escalier
En haut de l'escalier une passerelle première
Sur la passerelle première.....
Non, ne touchez à rien. On fait pour vous. Couleur bleu blanc acier, vous voilà sur la hune arrivés.
Laissez vous emporter. Saluez. Prenez place. Vous allez goûter à un spectacle vivant. Régal pour yeux et papilles. Confit de canard au menu ? Etrange. Pas conforme. Prendre à la carte. Retour au menu.
Carte ou menu, le spectacle est dans l'arène, sous vos yeux.
Visuel, musical, pictural, esquissé, tranché. Jusqu'à l'émotion.
Hummmmmmmmmmmm l'extrait de foie gras de canard sur pomme à l'épure !
hummmmmmmmmmmm le 1er sushi : frisson dans les mollets !
Reste à dé-voiler cette belle adresse rennaise :
Pour les modernes, le site : www.thai-shogun.com et la page http://www.giroptic.com/client/popup/adede57372f6
Pour les nostalgiques, l'adresse :
99, mail F. Mitterrand - Quai Saint-Cyr - 02 23 46 03 21
Belle convivialité du seul fait de la configuration de la tablée. Ce soir-là restera un excellent souvenir. Sublissime.Clin d'oeil aux professionnels et aux convives qui se reconnaîtront. Merci pour la chaleureuse boisson pétillante. Sourires au pays du Soleil Levant. A bientôt pour déguster jusqu'au dessert. Ou changer d'étage.
Dans le navire un escalier
En haut de l'escalier une passerelle première
Sur la passerelle première.....
Non, ne touchez à rien. On fait pour vous. Couleur bleu blanc acier, vous voilà sur la hune arrivés.
Laissez vous emporter. Saluez. Prenez place. Vous allez goûter à un spectacle vivant. Régal pour yeux et papilles. Confit de canard au menu ? Etrange. Pas conforme. Prendre à la carte. Retour au menu.
Carte ou menu, le spectacle est dans l'arène, sous vos yeux.
Visuel, musical, pictural, esquissé, tranché. Jusqu'à l'émotion.
Hummmmmmmmmmmm l'extrait de foie gras de canard sur pomme à l'épure !
hummmmmmmmmmmm le 1er sushi : frisson dans les mollets !
Reste à dé-voiler cette belle adresse rennaise :
Pour les modernes, le site : www.thai-shogun.com et la page http://www.giroptic.com/client/popup/adede57372f6
Pour les nostalgiques, l'adresse :
99, mail F. Mitterrand - Quai Saint-Cyr - 02 23 46 03 21
Belle convivialité du seul fait de la configuration de la tablée. Ce soir-là restera un excellent souvenir. Sublissime.Clin d'oeil aux professionnels et aux convives qui se reconnaîtront. Merci pour la chaleureuse boisson pétillante. Sourires au pays du Soleil Levant. A bientôt pour déguster jusqu'au dessert. Ou changer d'étage.
samedi 12 février 2011
Egypte toute le16 février 2010 dès 15 h 30 : "Quand es-tu née Grand-Mère"
Mon désir d'emmener les jeunes oreilles du côté du Nil le mercredi 16 février 2011 a rejoint l'actualité. Excellent. J'en profite pour préciser que je m'appuierai musicalement sur de petits chants rythmés, tirés de "EGYPT", un excellent CD de Colette Dabbous ArB MUSIC. Je vous le recommande.
A bientôt, avec plaisir
A bientôt, avec plaisir
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