SOLDE
A vendre ce que les Juifs n'ont pas vendu, ce que noblesse ni crime n'ont goûté, ce qu'ignorent l'amour maudit et la problité infernale des masses ; ce que le temps ni la science n'ont pas à reconnaître ;
les Voix reconstituées ; l'éveil fraternel de toutes énergies chorales et orchestrales et leurs applications instantanées ; l'occasion, unique, de dégager nos sens !
A vendre les Corps sans prix, hors de toute race, de tout monde, de tout sexe, de toute descendance ! Les richesses jaillissant à chaque démarche ! Solde de diamants sans contrôle !
A vendre l'anarchie pour les masses ; la satisfaction irrépressible pour les amateurs supérieurs ; la mort atroce pour les fidèles et les amants !
A vendre les habitations et les migrations, sports, féeries et comforts parfaits, et le bruit, le mouvement et l'avenir qu'ils font !A vendre les applications de calcul et les sauts d'harmonie inouïs. Les trouvailles et les termes non soupçonnés, possession immédiate.
Elan insensé et infini aux splendeurs invisibles aux délices insensibles, -et ses secrets affolants pour chaque vice- et sa gaîté effrayan te pour la foule.
A vendre les Corps, les voix, l'immense opulence inquestionnable, ce qu'on ne vendra jamais. Les vendeurs ne sont pas à bout de solde ! Les voyageurs n'ont pas à rendre leur commission de si tôt !
dimanche 28 décembre 2008
vendredi 26 décembre 2008
Saint Malo, la belle journée de Noël
Bpûcheron des temps modernes
Il faisait gris mouillé. Un bruit retint mon attention. Que se passait-il ?
J'ai écouté mes oreilles et me suis rappelé que j'avais mon appareil photo sur moi.
Rien d'étonnant pour l'instant si ce n'est que cet homme travaille en pleine ville, en bordure d'immeubles et au-dessus d'une avenue. La preuve par X mètres au-dessus du sol.
Impressionnant mais peut mieux faire. Toutefois, laquelle choisir ?
Plutôt celle-ci. Allons-y
Tout a une fin, la preuve
Le vrai final, je l'ai vu de l'autobus. D'un dernier coup de lame l'arbre ne fut plus que mât se découpant sur le ciel. Prêt pour le printemps.
J'ai écouté mes oreilles et me suis rappelé que j'avais mon appareil photo sur moi.
Rien d'étonnant pour l'instant si ce n'est que cet homme travaille en pleine ville, en bordure d'immeubles et au-dessus d'une avenue. La preuve par X mètres au-dessus du sol.
Impressionnant mais peut mieux faire. Toutefois, laquelle choisir ?
Plutôt celle-ci. Allons-y
Tout a une fin, la preuve
Le vrai final, je l'ai vu de l'autobus. D'un dernier coup de lame l'arbre ne fut plus que mât se découpant sur le ciel. Prêt pour le printemps.
mercredi 24 décembre 2008
Quand la photo manque restent les mots
de Papiers Collés.
Pour un monde à choeurs ouverts, palpitations toutes.
C'est souvent ce que je me dis quand mes piles usées, me font défaut et qu'étourdie, je n'ai pas prévu d'emmener leurs remplaçantes.
Christine me fait la surprise de m'offrir mes premiers voeux.
Pour l'en remercier je vous invite à la découvrir :
http://images.christinedb.fr/
Pour un monde à choeurs ouverts, palpitations toutes.
C'est souvent ce que je me dis quand mes piles usées, me font défaut et qu'étourdie, je n'ai pas prévu d'emmener leurs remplaçantes.
Christine me fait la surprise de m'offrir mes premiers voeux.
Pour l'en remercier je vous invite à la découvrir :
http://images.christinedb.fr/
mardi 23 décembre 2008
Samedi 17 janvier au Melti-Potes, les Mille et une Nuits de Lania & Azedine
Bonjour
Soirée couscous du Maître des lieux auquel succédera le spectacle créé par Azedine, conteur, accompagné de Lania, conteuse.
Quand on goûte une datte, on a le sucré
Quand on mange une noix, on a l'amertume
Quand on mange une noix dans une datte, on goûte aux Mille et une Nuits.
Retenez la date : 17 janvier 2009
Soirée couscous du Maître des lieux auquel succédera le spectacle créé par Azedine, conteur, accompagné de Lania, conteuse.
Quand on goûte une datte, on a le sucré
Quand on mange une noix, on a l'amertume
Quand on mange une noix dans une datte, on goûte aux Mille et une Nuits.
Retenez la date : 17 janvier 2009
dimanche 21 décembre 2008
Il n'y a plus qu'à goûter,.... Rozenn et Joëlle y vont
arrêtez-vous avec nous : fameux et tout autour de nous, l'assent bon !
Excellent !
http://khassiopee.over-blog.com/photo-255306-Villeneuve-Sur-Lot-Pruneau-Roi-2-24-08-2007_JPG.html
Suffit juste de recopier le lien. Belle fin de dimanche à tous et à chacun
Excellent !
http://khassiopee.over-blog.com/photo-255306-Villeneuve-Sur-Lot-Pruneau-Roi-2-24-08-2007_JPG.html
Suffit juste de recopier le lien. Belle fin de dimanche à tous et à chacun
vendredi 19 décembre 2008
Quand le Père Noël a perdu les Doudous
Il a commencé sa journée en faisant de la gymnastique
il a choisi son plus beau renne, le p'tit renne au nez rouge
il a mis sa hotte sur son dos
et tous les calinous l'ont suivi d'un oeil
ou des deux
tous ensemble a éclater de rire en regardant le Père Noël déraper
ou a découvrir leur amie Sophie
Etoui, elle était là, l'amie des petits. Elle était là, dans la hotte et Hop là elle s'est accrochée à la trompe d'Elefanto.
La suite ? Le reste du petit conte, en rires, chansons et ronde du petit flocon.
Après toutes ses péripéties ce fut l'heure du goûter.
il a choisi son plus beau renne, le p'tit renne au nez rouge
il a mis sa hotte sur son dos
et tous les calinous l'ont suivi d'un oeil
ou des deux
tous ensemble a éclater de rire en regardant le Père Noël déraper
ou a découvrir leur amie Sophie
Etoui, elle était là, l'amie des petits. Elle était là, dans la hotte et Hop là elle s'est accrochée à la trompe d'Elefanto.
La suite ? Le reste du petit conte, en rires, chansons et ronde du petit flocon.
Après toutes ses péripéties ce fut l'heure du goûter.
Noël au Foyer de jour du Logis La Poterie
Je ne le passerai pas sous silence. Les résidents m'ont invitée à leur repas, fait par eux-mêmes et je les remercie très chaleureusement
Petites bouchées apéritives, feuilletées aux petites saucisses et à la feta, tajine sublimissime avec des pommes de terre à la fondue divine, osons le dire, sur les papilles. Anne-Christelle et Nathalie et Anna, la recette s'il vous plaît. Bûche traditionnelle pour terminer en beauté et participation de Guillaume à l'harmonica pour l'animation musicale et les traditionnels chants de Noël.
Pour ce bonheur partagé, grand merci à tous :
Serge, Catherine, Guillaume, Cedric, Nathalie, Sylvie, Gwenaël, Almerinda, Elodie, Steeve, Steevie, Séverine, Guillaume, Gilles et Marie, Mickaël et sa maélicieuse Maëlle : j'espère que je n'ai oublié personne
Petites bouchées apéritives, feuilletées aux petites saucisses et à la feta, tajine sublimissime avec des pommes de terre à la fondue divine, osons le dire, sur les papilles. Anne-Christelle et Nathalie et Anna, la recette s'il vous plaît. Bûche traditionnelle pour terminer en beauté et participation de Guillaume à l'harmonica pour l'animation musicale et les traditionnels chants de Noël.
Pour ce bonheur partagé, grand merci à tous :
Serge, Catherine, Guillaume, Cedric, Nathalie, Sylvie, Gwenaël, Almerinda, Elodie, Steeve, Steevie, Séverine, Guillaume, Gilles et Marie, Mickaël et sa maélicieuse Maëlle : j'espère que je n'ai oublié personne
jeudi 18 décembre 2008
Fabuleuse Coquine, la patate... à Visseiche V
Une nouvelle aventure. Olà mais où tu vas Lania, plus de lumière, c'est le trou noir. Tu as raison, prend l'autre route. Olà pire que trou noir, noir plus que noir. Remarque l'obscurité c'est quand même une partie du sujet. Mais retourne en arrière. Tu devrais frapper à la porte de cette maison, il y a de la lumière. Ok Conscience, tu as raison je m'arrête. Vitre baissée, je ne sais pas que je m'adresse à l'élu qui clé en mains doit ouvrir la salle. Conscience, tu ne pouvais mieux tomber. Remarque bien Lania, que sans moi tu te serais trompée de sapin. C'est vrai Conscience. Je te remercie. Me voilà dans la salle. Petit à petit le public vient. D'abord le chargé de presse, très chaleureux, puis d'autres élus, puis des habitants des lieux, rien que des adultes. J'allume un feu d'ambiance, on arrondit le cercle de famille, sympathique et je me lance.
Et je poursuis. Le public est attentif
A quelques secondes près quand je dis que la petite fille entre dans l'épicerie, la porte s'ouvre pour de vrai et la maman de Florène vérifie : est-ce seulement pour les adultes ? Pas question de frustrer des oreilles d'enfants : bien sûr que non. Je veillerai au grain sémantique. Mais entrez donc.
Bienvenue Florène : tu manquais à la séance et ta douce présence l'a rendue très intéressante. Bon anniversaire demain. Au fait, est-ce bien "trop bien ?" que tu m'as répondu quand je t'ai demandé si tu avais aimé les contes de l'après-midi dits par moi à la Médiathèque ?
Vue de mon côté, les soirées se suivant et ne se ressemblant guère, celle-ci fut un nouveau moment "punchy" à avoir la patate. Tout le monde l'a eu. Amicalement à tous, joyeuses Fêtes de Noël et à l'année prochaine.
Pour mes grands auditeurs de l'école primaire de Visseiche aujourd'hui
si excellents que je les remercie. Attentifs, vivants et réactifs, ils se sont prêtés à mes paroles, images, rebondissements sans arrière pensée. J'ai beaucoup apprécié ce moment. Je leur offre une photo du presque point de départ de la randonnée : la boulangerie de Monsieur Larroque, le boulanger au double petit pain chaud et sucré de la place des Cornières.
Je les ai quittés, ils choisissaient de nouveaux amis : des livres. Qu'ils soient petits ou grands, minces ou épais, de contes ou de romans, de documentaires ou d'art, de voyages ou de biographies, d'abécédaires en poésies, de bandes dessinées en photos, le meilleur du livre est qu'il est plein de meilleurs : le plaisir de regarder l'illustration de la couverture, de soulever une page, de découvrir le mot chapitre, d'attendre la suite, ou de lire le mot Fin et celui de le fermer et d'y revenir en pensée, pour un plaisir supplémentaire revivre ses émotions et peut-être les partager. Le livre aussi est convivial. Et plus on lit plus on acquiert de mots, plus on peut toucher tous les sujets, plus on peut fabriquer d'images et plus on peut échanger. Belles lectures à tous. Joyeuses fêtes de la part de Lania
Pour répondre au comment devient-on conteuse, question d'importance avec réponce fondamentale : en écoutant dans l'herbe d'ici ou d'ailleurs les nuages raconter les histoires de leurs voyages ; en en lisant ; en écoutant ceux qui parlent.
Et pour notre connivence, un petit rappel et un mode d'emploi pour déverouiller les langues :
Six six frères sont assis sur six chaises six cent six frères sont assis sur six cent six chaises
Le bébé de René regarde le nez de son père et tête le lait de sa mère -fous rires assurés- et encore avec les remerciements de Phil,
un pêcheur à côté d'un pêché, le pêché empêcha le pêcheur de pêcher.Mode d'emploi : les dire au moins dix fois et de plus en plus vite sans se tromper
ou en groupe comme si on était une chorale avec des moments forts et des moments faibles, et à chaque fois pour s'amuser.
Une anecdote émue : un jour d'été rare -car il y avait longtemps que je n'étais revenue dans ce lieu- je souhaitais saluer Monsieur Larroque et lui dédicacer cet enchaînement de contes. Quand j'entrai dans le village, j'ai nettement repéré le clocher du village. Il égrenait le glas d'une messe d'enterrement. Neuf jours plus tard j'apprenais que c'était l'enterrement de Monsieur Camille Larroque !
Je les ai quittés, ils choisissaient de nouveaux amis : des livres. Qu'ils soient petits ou grands, minces ou épais, de contes ou de romans, de documentaires ou d'art, de voyages ou de biographies, d'abécédaires en poésies, de bandes dessinées en photos, le meilleur du livre est qu'il est plein de meilleurs : le plaisir de regarder l'illustration de la couverture, de soulever une page, de découvrir le mot chapitre, d'attendre la suite, ou de lire le mot Fin et celui de le fermer et d'y revenir en pensée, pour un plaisir supplémentaire revivre ses émotions et peut-être les partager. Le livre aussi est convivial. Et plus on lit plus on acquiert de mots, plus on peut toucher tous les sujets, plus on peut fabriquer d'images et plus on peut échanger. Belles lectures à tous. Joyeuses fêtes de la part de Lania
Pour répondre au comment devient-on conteuse, question d'importance avec réponce fondamentale : en écoutant dans l'herbe d'ici ou d'ailleurs les nuages raconter les histoires de leurs voyages ; en en lisant ; en écoutant ceux qui parlent.
Et pour notre connivence, un petit rappel et un mode d'emploi pour déverouiller les langues :
Six six frères sont assis sur six chaises six cent six frères sont assis sur six cent six chaises
Le bébé de René regarde le nez de son père et tête le lait de sa mère -fous rires assurés- et encore avec les remerciements de Phil,
un pêcheur à côté d'un pêché, le pêché empêcha le pêcheur de pêcher.Mode d'emploi : les dire au moins dix fois et de plus en plus vite sans se tromper
ou en groupe comme si on était une chorale avec des moments forts et des moments faibles, et à chaque fois pour s'amuser.
Une anecdote émue : un jour d'été rare -car il y avait longtemps que je n'étais revenue dans ce lieu- je souhaitais saluer Monsieur Larroque et lui dédicacer cet enchaînement de contes. Quand j'entrai dans le village, j'ai nettement repéré le clocher du village. Il égrenait le glas d'une messe d'enterrement. Neuf jours plus tard j'apprenais que c'était l'enterrement de Monsieur Camille Larroque !
mercredi 17 décembre 2008
Une étonnante comptine vieillote qui aujourd'hui
pourrait bien être prémonitoire. Les temps changent en effet.
Une jeune fille de 90 ans
En mangeant de la crème s’est
cassée une dent
Ah !
lui dit sa maman
C’est pas étonnant !!!!!
Une jeune fille de 90 ans
En mangeant de la crème s’est
cassée une dent
Ah !
lui dit sa maman
C’est pas étonnant !!!!!
dimanche 14 décembre 2008
La générosité ça existe... pour les enfants
Un site généreux, celui d'un groupe de musique créant des spectacles pour enfants : pour y aller, copier-coller et déposer sur votre serveur préféré
http://www.stephyprod.com/spectacle-enfants/enfants_spectacle_conte_musical_enfant_ecole_centre_culturel_swing.htm
Quelque part sur une page le conte peut être écouté dans sa totalité : plutôt sympathique. Pour s'étonner, avoir peur, et attendre la fin, il n'y a plus qu'à écouter, é cou ter. Fastoche !
http://www.stephyprod.com/spectacle-enfants/enfants_spectacle_conte_musical_enfant_ecole_centre_culturel_swing.htm
Quelque part sur une page le conte peut être écouté dans sa totalité : plutôt sympathique. Pour s'étonner, avoir peur, et attendre la fin, il n'y a plus qu'à écouter, é cou ter. Fastoche !
Bonjour, auriez-vous faim ? Bon à savoir
Copier-coller sur votre serveur et visitez. Merci pour la visite. http://www.spectable.com/coquine-patate-entendez/d_68147-doc_156941-l_31.php
samedi 13 décembre 2008
Irish Myths and Legends Tir Na nOg and eternal youth
From the land of the living to a magical world, read the story of Oisin and enter the gateway to Tir Na nOg…..
The legend of Tir Na nOg, the land of youth, is one that every Irish person is familiar with and one that many of us wish was true! The quest for eternal youth has obsessed man through the ages and legends such as Tir Na nOg inspire us to dream.
Tir Na nOg was an enchanted land where the beautiful Tuatha de Danann lived. According to Celtic mythology, the Tuatha De Danann were the last generation of gods and goddesses to rule Ireland and they were possessed with magical abilities and great skills in the Arts. They were eventually conquered in battle but were allowed to stay in Ireland if they remained underground. From then on they became known as the Celtic fairies we read about in ancient myth.
The story of Tir Na nOg is closely linked to the story of Oisin, one of the great heroes and poets of ancient Ireland. Oisin was the son of Fionn Mac Cumhal and he became a member of Fionn’s band of legendary heroes, the Fianna. The Fianna possessed enormous courage, strength and skill in hunting and war and they also lived by a high moral code. One of the Fianna principles was to marry only for love - and not money!
Fionn and the Fianna were eventually defeated in battle but Oisin’s adventures were only beginning. One day while out hunting, a beautiful maiden approached him. Her name was Niamh of the Golden Hair, one of the Tuatha De Danann and the daughter of Manannan, the god of the sea. Niamh chose Oisin to be her lover and live with her in Tir Na nOg.
They travelled through many strange and wonderful lands on her magic white horse until eventually they reached Tir Na nOg. There they were married and lived a long and happy life together in this enchanted fairyland.
Nobody ever grew old or sick in Tir Na nOg and Oisin spent 300 years there without looking or feeling a day older! But even the land of eternal youth couldn’t banish memories and he began to miss his people and his home terribly. Niamh understood his need to visit the mortal world again and see his friends and she provided him with a fairy horse to take him there. She warned him however that he must not set foot on the earth – if he did, he would never be able to return.
Oisin arrived back in Ireland to see that much had changed over 300 years! Fionn and his men were long dead and the Fianna were by now the stuff of legends. Oisin didn’t like what he saw and decided to return to Tir Na nOg and his beloved Niamh. On his way back he came across some men trying to lift a heavy rock and bent down to help them. Tragedy struck when he slipped from the saddle and fell to the ground. Oisin fell on mortal soil and was instantly transformed into an old blind man.
He wandered Ireland for many years before St. Patrick took him into his house and tried to convert him to Christianity. Oisin told St. Patrick everything about Fionn and the warriors of ancient Ireland and Tir Na nOg. He eventually died without ever again setting eyes upon Niamh and Tir Na nOg.
And thus the story of Tir Na nOg ends with something that we all know well by now: Eternal youth is for fairies and not mortals - but that shouldn’t stop us dreaming!
Source: www.otherdays.com
The legend of Tir Na nOg, the land of youth, is one that every Irish person is familiar with and one that many of us wish was true! The quest for eternal youth has obsessed man through the ages and legends such as Tir Na nOg inspire us to dream.
Tir Na nOg was an enchanted land where the beautiful Tuatha de Danann lived. According to Celtic mythology, the Tuatha De Danann were the last generation of gods and goddesses to rule Ireland and they were possessed with magical abilities and great skills in the Arts. They were eventually conquered in battle but were allowed to stay in Ireland if they remained underground. From then on they became known as the Celtic fairies we read about in ancient myth.
The story of Tir Na nOg is closely linked to the story of Oisin, one of the great heroes and poets of ancient Ireland. Oisin was the son of Fionn Mac Cumhal and he became a member of Fionn’s band of legendary heroes, the Fianna. The Fianna possessed enormous courage, strength and skill in hunting and war and they also lived by a high moral code. One of the Fianna principles was to marry only for love - and not money!
Fionn and the Fianna were eventually defeated in battle but Oisin’s adventures were only beginning. One day while out hunting, a beautiful maiden approached him. Her name was Niamh of the Golden Hair, one of the Tuatha De Danann and the daughter of Manannan, the god of the sea. Niamh chose Oisin to be her lover and live with her in Tir Na nOg.
They travelled through many strange and wonderful lands on her magic white horse until eventually they reached Tir Na nOg. There they were married and lived a long and happy life together in this enchanted fairyland.
Nobody ever grew old or sick in Tir Na nOg and Oisin spent 300 years there without looking or feeling a day older! But even the land of eternal youth couldn’t banish memories and he began to miss his people and his home terribly. Niamh understood his need to visit the mortal world again and see his friends and she provided him with a fairy horse to take him there. She warned him however that he must not set foot on the earth – if he did, he would never be able to return.
Oisin arrived back in Ireland to see that much had changed over 300 years! Fionn and his men were long dead and the Fianna were by now the stuff of legends. Oisin didn’t like what he saw and decided to return to Tir Na nOg and his beloved Niamh. On his way back he came across some men trying to lift a heavy rock and bent down to help them. Tragedy struck when he slipped from the saddle and fell to the ground. Oisin fell on mortal soil and was instantly transformed into an old blind man.
He wandered Ireland for many years before St. Patrick took him into his house and tried to convert him to Christianity. Oisin told St. Patrick everything about Fionn and the warriors of ancient Ireland and Tir Na nOg. He eventually died without ever again setting eyes upon Niamh and Tir Na nOg.
And thus the story of Tir Na nOg ends with something that we all know well by now: Eternal youth is for fairies and not mortals - but that shouldn’t stop us dreaming!
Source: www.otherdays.com
mercredi 10 décembre 2008
Coquine, la Patate a la frite... Clap III
....Sous les sunlights à Chartres de Bretagne, mi-ombrée à La Guerche de Bretagne, sous l'éblouissement à Cesson Sévigné.
J'ai retrouvé ma conteuse préférée, bonsoir belle Camille*, les tables avancées et bien conviviales. Pendant la prestation le public déguste à loisir frites, boissons tropicales et mots à volonté. On est bien dans le sujet.
* Camille a près de 9 ans. Elle a écouté très régulièrement les contes durant les séances "heure du conte" à Cesson. Et elle a maintenant son jugement. Avant de partir elle est venue me dire "C'est beaucoup mieux qu'avant" et je lui offre ici de doux bisous.
Je remercie le public attentif : ernfants, adultes, que de belles oreilles et surtout belles bouches chanteuses. Ce fut un plaisir de chanter "Les épousailles" avec eux : je n'ai pas même eu besoin de jouer la chef de choeur. Il a enfilé les réponds d'une façon quasi professionnelle.
Je remercie aussi le photographe pour ses saisies que je ne tarderai pas à déposer ici
La prochaine séance aura lieu à Visseiche, direction La Guerche de Bretagne,
dans la salle multi-fonctions
dès 20 h 30,
le jeudi 18 décembre .
Le conteur observe les mots du quotidien
et aujourd'hui cette énumération sur un panneau publicitaire :
Content, heureux, enchanté, satisfait ou remboursé !
Donc mé-content, méZheureux, méZenchanté, méSatisfait, méRemboursé.
Il préfère enchanté tout court et rien de plus.
Content, heureux, enchanté, satisfait ou remboursé !
Donc mé-content, méZheureux, méZenchanté, méSatisfait, méRemboursé.
Il préfère enchanté tout court et rien de plus.
samedi 6 décembre 2008
vendredi 5 décembre 2008
Pour Petite Princesse Kaïna The Gingerbread Man
Un biscuit apprécié en ces temps froids et venteux et une petite histoire dans le texte amusante à lire en courant. Quel rythme !
Once upon a time, a little old lady made a Gingerbread man for a treat. She put him in the oven to bake, but after a while she heard a tiny voice crying,"Help! Let me out."So she opened the oven door.
The little Gingerbread man shot out of the oven and frightened the little old woman ... but she tried to catch him. The Gingerbread man was too fast. He ran up the road singing,
"Run, run as fast as you can.You can't catch me, I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a duck. "Quack, quack. Stop little gingerbread man!
I would like to eat you," said the duck. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a cow. "Moo, moo! Stop little gingerbreadman! You would like to eat you," mooed the cow.But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Further down the road the Gingerbread man met a horse. "Neigh, neigh! Stop little gingerbreadman! I want to eat you," neighed the horse hungrily. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
The Gingerbread man ran faster and faster. Then he met an old fox."Stop little gingerbreadman, I want to talk to you!" he smiled.But the Gingerbread man ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
But the sly fox said: "I don't want to eat you. I'm your friend."
Soon they came to a river. The fox said "I'll help you cross the river. Jump onto my tail." So the little Gingerbread man did.
Before long the fox said, "You are too heavy. Jump on my back." So the little Gingerbread man did.After a while the fox said, "You are too heavy for my back. Jump on my nose." So the little Gingerbread man did.
Finally they reached the other side of the river. The sly fox tilted back his head quickly, tossed the Gingerbread man into the air and opened his mouth. SNAP! That was the end of the Gingerbread man.
Once upon a time, a little old lady made a Gingerbread man for a treat. She put him in the oven to bake, but after a while she heard a tiny voice crying,"Help! Let me out."So she opened the oven door.
The little Gingerbread man shot out of the oven and frightened the little old woman ... but she tried to catch him. The Gingerbread man was too fast. He ran up the road singing,
"Run, run as fast as you can.You can't catch me, I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a duck. "Quack, quack. Stop little gingerbread man!
I would like to eat you," said the duck. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a cow. "Moo, moo! Stop little gingerbreadman! You would like to eat you," mooed the cow.But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Further down the road the Gingerbread man met a horse. "Neigh, neigh! Stop little gingerbreadman! I want to eat you," neighed the horse hungrily. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
The Gingerbread man ran faster and faster. Then he met an old fox."Stop little gingerbreadman, I want to talk to you!" he smiled.But the Gingerbread man ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
But the sly fox said: "I don't want to eat you. I'm your friend."
Soon they came to a river. The fox said "I'll help you cross the river. Jump onto my tail." So the little Gingerbread man did.
Before long the fox said, "You are too heavy. Jump on my back." So the little Gingerbread man did.After a while the fox said, "You are too heavy for my back. Jump on my nose." So the little Gingerbread man did.
Finally they reached the other side of the river. The sly fox tilted back his head quickly, tossed the Gingerbread man into the air and opened his mouth. SNAP! That was the end of the Gingerbread man.
Once upon a time, a little old lady made a Gingerbread man for a treat. She put him in the oven to bake, but after a while she heard a tiny voice crying,"Help! Let me out."So she opened the oven door.
The little Gingerbread man shot out of the oven and frightened the little old woman ... but she tried to catch him. The Gingerbread man was too fast. He ran up the road singing,
"Run, run as fast as you can.You can't catch me, I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a duck. "Quack, quack. Stop little gingerbread man!
I would like to eat you," said the duck. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a cow. "Moo, moo! Stop little gingerbreadman! You would like to eat you," mooed the cow.But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Further down the road the Gingerbread man met a horse. "Neigh, neigh! Stop little gingerbreadman! I want to eat you," neighed the horse hungrily. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
The Gingerbread man ran faster and faster. Then he met an old fox."Stop little gingerbreadman, I want to talk to you!" he smiled.But the Gingerbread man ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
But the sly fox said: "I don't want to eat you. I'm your friend."
Soon they came to a river. The fox said "I'll help you cross the river. Jump onto my tail." So the little Gingerbread man did.
Before long the fox said, "You are too heavy. Jump on my back." So the little Gingerbread man did.After a while the fox said, "You are too heavy for my back. Jump on my nose." So the little Gingerbread man did.
Finally they reached the other side of the river. The sly fox tilted back his head quickly, tossed the Gingerbread man into the air and opened his mouth. SNAP! That was the end of the Gingerbread man.
Once upon a time, a little old lady made a Gingerbread man for a treat. She put him in the oven to bake, but after a while she heard a tiny voice crying,"Help! Let me out."So she opened the oven door.
The little Gingerbread man shot out of the oven and frightened the little old woman ... but she tried to catch him. The Gingerbread man was too fast. He ran up the road singing,
"Run, run as fast as you can.You can't catch me, I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a duck. "Quack, quack. Stop little gingerbread man!
I would like to eat you," said the duck. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Soon the Gingerbread man met a cow. "Moo, moo! Stop little gingerbreadman! You would like to eat you," mooed the cow.But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
Further down the road the Gingerbread man met a horse. "Neigh, neigh! Stop little gingerbreadman! I want to eat you," neighed the horse hungrily. But the Gingerbread man was too fast. He ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
The Gingerbread man ran faster and faster. Then he met an old fox."Stop little gingerbreadman, I want to talk to you!" he smiled.But the Gingerbread man ran away singing...
"Run, run as fast as you can. You can't catch me ... I'm the Gingerbread man."
But the sly fox said: "I don't want to eat you. I'm your friend."
Soon they came to a river. The fox said "I'll help you cross the river. Jump onto my tail." So the little Gingerbread man did.
Before long the fox said, "You are too heavy. Jump on my back." So the little Gingerbread man did.After a while the fox said, "You are too heavy for my back. Jump on my nose." So the little Gingerbread man did.
Finally they reached the other side of the river. The sly fox tilted back his head quickly, tossed the Gingerbread man into the air and opened his mouth. SNAP! That was the end of the Gingerbread man.
jeudi 4 décembre 2008
La patate, à La Guerche de Bretagne
.... autant intime que voyageuse. Je sens que ce sera comme pour "Le boeuf en guenilles de Luisa" à propos de Cuba : à chaque fois une nouvelle ambiance. Je remercie chaleureusement le photographe qui a pris photos et vidéo et me les a offertes. Rigolo, l'effet parole : pendant que Lania conte l'origine de la Pomme de terre, le tubercule quitte l'obscurité andine et se profile ! Prochaine prestation à la médiathèque de Cesson Sévigné, mardi 9 décembre à 19 h : centre Culturel Bourchevreuil. Atmosphère ca-ba-ret. Petit lieu : mieux vaut confirmer sa venue : 02.99.83.52.24
mercredi 3 décembre 2008
Les jeunes hommes fidèles, ça existe, mesdemoiselles
Pourquoi mal finir une journée qui a si bien commencé : discussion avec le banquier : libératrice ; entretien avec le garagiste : à vous remettre sur roues ; dépannage d'une amie proche : retour joyeusement inattendu, le jour même ; courses rapides -comment les éviter celles-là- à vous réjouir les papilles et à vous permettre de retrouver et d'échanger quelques paroles sympathiques ; autre rencontre si spontanée qu'elle vous embrasse et merci... ça fait plaisir d'être embrassée; et pour finir s'étonner naïvement devant le nouveau lifting de la célébrissime Fiat 500. A s'entendre proposer "Si vous voulez je vous la fais visiter !" Pas mal la voiture, mais son propriétaire aussi. Donc la petite phrase taquine "Agréable pour draguer !" Et le petit sourire jubilatoire, sans amertume ni rancoeur, de souligner "Point besoin, je suis fidèle... ça existe !" Pactole Mesdemoiselles, ne vous laissez pas faire. Ils ne sont pas tous infidèles. Et de nous préciser qu'il n'est pas le seul. Qui s'assemble se ressemble -c'est cette phrase qui me faisait défaut sur le parking.
Et tout ça, à en oublier qu'il faisait froid et que le ciel, sec, soulignait comme un écrin l'étoile du berger.
Séparation sans nostalgie et retour à la caverne où il faisait bien chaud. Bonne soirée à tous, toutes, chacun, seul(e)s ou en couples. Rien n'est jamais figé. A bientôt pour lire vos commentaires.
Et tout ça, à en oublier qu'il faisait froid et que le ciel, sec, soulignait comme un écrin l'étoile du berger.
Séparation sans nostalgie et retour à la caverne où il faisait bien chaud. Bonne soirée à tous, toutes, chacun, seul(e)s ou en couples. Rien n'est jamais figé. A bientôt pour lire vos commentaires.
mardi 2 décembre 2008
Jeudi 4 décembre : sublimissime pomme de terre
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