Il y avait quelques mois que je ne m'y étais pas rendue.
Hier soir le public faisait "foule" chaleureuse et rieuse.
J'ai ouvert en chanson, voir comptine gabonaise. Et le public m'a suivie, dans un champ de cacahuètes, celui de Bébé l'Africaine ; il a suivi les aventures de la Souris toujours de bon conseil quand elle adopte ceux d'autrui. "Laisse aller Coq, laisse aller Bélier, laisse aller Bouc... et toi qui lis, "laisse aller aussi, sinon tu pourrais bien passer à la marmite à ton tour !"
Parce qu'après il y eut une belle adaptation d'un Outroupistache hongrois dont la facétieuse conteuse nous offre d'écouter la suite à la prochaine séance Artiste Assoiffé (l'idée du conte en feuilleton j'ai toujours aimé) ;
Un texte lu ;
Un conte sanguinolent : au suspens si rondement mené que l'écoute s'épaississait au fur et à mesure. Quant à la fin, ben voyons !
Gilbert Chevelu, son jeu de cartes et son humour, même noir ;
un super slameur, et qu'il revienne surtout.
Et ce fut la fin d'une heure de séance voir presque davantage, contée rien qu'à des adultes, comme toujours.
Prochaine séance, qu'on se le dise, le dernier mercredi de novembre.
La photo a été prise à l'Artiste Assoiffé, dans un temps déjà éloigné. Preuve en est qu'en matière de randonnée immobile on peut bouger les oreilles. Pour ma part, j'adore les randonnées : elles rendent à leurs sept ans des âmes qui parfois ne s'y laisseraient volontiers pas revenir. Gagné. Merci à chacun de ceux qui se sont prêtés à mon jeu avec une aimable complicité. (J'anime chez vous, pour tout occasion, si vous le voulez bien. Un seul chiffre 0770349072). A bientôt. Du rose au sanguinolent ou bien l'inverse... allez-y, demandez-moi. :-)
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