mardi 30 juin 2009
Il était une fois
Sur le balcon d’une grande ville une petite Nina jouait avec son poupon.
Soudain crac, le bras tombe.
Pauvre poupon mais heureux le bras.
"Au revoir petite Nina, A moi les voyages, à bientôt"
Puis il réfléchit "Partir oui, mais comment ?"
Puis il réfléchit "Partir oui, mais comment ?"
Une voix dit "T'inquiète, je m'en occupe"
C'est Vent qui a parlé. Lebras laisse aller ! "Si tu le dis, d'accord Vent, je te suis !"
Le Vent saisit LeBras et hop là il l'emporte mène
mène-mène, tourne-mène-emporte-mène l'emporte.....
surprise jusqu'en haut du plus haut des immeubles rennais, l'immeuble blanc diamant dit "les Horizons"
hauts
Là-bas tout là bas, tout au bout des étages il y aune terrasse et une fontaine. Sur le rebord de la fontaine une enfant y tourne-danse et danse tourne, et tourne tourne danse danse, dans sa jolie robe blanche. danse-danse et tourne-tourne les bras hauts levés
Lebras admire l'enfant qui danse sur le rebord de la fontaine dans sa robe blanche.
Mais déjà le vent s'en mêle, hop là,
mène-mène, tourne-mèn, mène-emporte-mène
Lebras sur la pointe de... de... de la montagne Himalaya
Lebras a le nez au frais et les joues rosies. Il se penche et découvre Le Gange, le plus célèbre des fleuves indiens. Le Gange descend des neiges éternelles, il saute de rocher en rocher puis file, paisiblement, à travers les plaines pour s'unir en delta à l'Océan
Mais déjà le vent s'en mêle, hop là,
mène-mène, tourne-mène, emporte-mène
Lebras jusqu'au dernier étage de Miss Toureiffel la jolie parisienne
Lebras n'hésite pas. Lebras demande un baiser à la jolie demoiselle.
« Belle, belle demoiselle, joliment tête en l'air, donne-moi un baiser" dit Lebras.
Miss Toureiffel rit et se penche. Elle dépose un baiser de feu de fer sur la joue cramoisie de Lebras.
"Merci beaucoup Miss Toureiffel"et Lebras regarde le tout Paris « C'est beau ici »
Miss Toureiffel lui fait un cligne-l'oeil. Mais pas le temps de répondre.
« Belle, belle demoiselle, joliment tête en l'air, donne-moi un baiser" dit Lebras.
Miss Toureiffel rit et se penche. Elle dépose un baiser de feu de fer sur la joue cramoisie de Lebras.
"Merci beaucoup Miss Toureiffel"et Lebras regarde le tout Paris « C'est beau ici »
Miss Toureiffel lui fait un cligne-l'oeil. Mais pas le temps de répondre.
Déjà le vent s'en mêle, hop là,
mène-mène, tourne-mène-emporte-mène,
Lebras, s'en va loin très loin, plus loin,
au-delà du tout au bout de l'Océan Atlantique, dans le port de New-York.
Il atterrit sur la main de la statue de la Belle et Verte Liberté
Il atterrit sur la main de la statue de la Belle et Verte Liberté
"Bonjour, petit Français de Paris" dit la belle femme apaisée, "Chatouille-moi s'il te plaît il y a longtemps que je n'ai pas ri"
Bzizzzzzze, guili-guili les chatouilles enchantent la belle dame verte.
Mais déjà le vent s'en mêle, hop là,
mène-mène, tourne-mène-emporte-mène
Lebras s'envole et atterrit
sur les hautes terrasses du Machu Pichu.
C’est un exploit. « Ha ha ha hi hi hi ainsi rit Pachamama la déesse de la Terre, Ha ha ha hi hi hi elle rit.
"Ho c'est haut ici, j'ai le vertige" dit Lebras
et il descend les escaliers
il descend les escaliers les escaliers qui n'en finissent pas de descendre il les descend tout pentus qu'ils sont.
Les rires s'éclatent d'un roc à l'autre. Dans la vallée profonde ils se répercutent. Valse d'échos jamais éteinte.
Déjà le vent s'en mêle, hop la,
mène-mène, tourne-mène-emporte-mène
et Lebras s'envole et atterrit au bord des chutes du Niagara.
Un petit escalier descend le long de la roche. Attentions "marches glissantes" : ne pas chuter. Les chutes font un bruit très puissant. Le bruit s'amplifie. Les oreilles se bouchent. Les cheveux prennent la douche, le visage s'humidifie. Lebras enfile l'imperméable jaune et son petit chapeau jaune. Lebras il monte dans le petit bateau qui danse sur le bouillonnement, moussu comme bière blanche, de l'immense et haut rideau d'eau.
Mais déjà le vent s'en mêle, hop la,
le mène mène, le tourne-mène-emporte
et Lebras s'envole et atterrit sur le balcon de Petite Nina.
"Maman Maman" dit la petite Nina, "mon poupon a perdu son bras !!!" .
"Qu'est-ce que tu racontes, Fiyette, ton poupon est dans tes bras" dit sa maman. Tel qu'il est, il est tout entier et il veut se remettre à jouer"
Fiyette ouvre les yeux, Elle baille à tout va, comme un lion.
« Ah ah ah ah comme j’ai voyagé dans les airs, si tu savais Fiyette ce que j’ai vu !"
« Ah ah ah ah comme j’ai voyagé dans les airs, si tu savais Fiyette ce que j’ai vu !"
« Qu’as-tu vu Poupon, dis-le moi ! »
« J’ai vu à Rennes
La haute tour blanche des Horizons
J’ai vu au Tibet
Les hauts sommets de l’Himalaya
J’ai vu à Paris
la belle Tour Eiffel
J’ai vu à New York
La statue de la Liberté
J’ai vu au Pérou
Les terrasses du Machu Pichu
J’ai vu du lac Erié
Les chutes du Niagara
Et je tai vu Toi
sur ton Balcon Nina
« Crois-tu que j'ai vu tout ça Nina ?
"Pour le balcon je sais que tu l’as vu Fiyette, tu es même dessus. Pour le reste toi seule sais, quant à moi qui ne sais pas, je sens que je vais savoir !"
Et Fiyette raconte.
Voilà, c'est fait.
Voilà, c'est fait.
Et ri ri, la petite souris a tout pris.
Et ri ri, le conte finit ici.
Tout petite histoire du jour : 5/09/15
Sur la dalle de Villejean Lania a trouvé une jambe tout en entier, visiblement abandonnée. Presqu'une histoire vraie !
Le conte est tout, le conte est rien
la mensonge, le vérité
vous invitent à rencontrer
c'est fait.
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