Pat Kalla le voilà d'un klik
Et le voilà encore pour vous régaler d'un univers conteur, intro conteuse quasi classique, quoi que et bel amalgame de deux univers culturel.
Une réussite que je regarde et écoute depuis des années.
Amitié à lui et à vous qui osez me lire parfois.
L'oiseau Patrice : Photo de Neenah
et à l'instant celle que je ne ferai pas, parce que je la vois de mes yeux mes propres yeux de Femme.
Mésange, habillée de soleil, casse graine sur la fine tige de la branche.
Exploit.
mercredi 23 mars 2016
dimanche 20 mars 2016
C'est le Printemps ! Attention, cuidado, ne dites surtout pas "L'hiver c'est fini..." il pourrait...
vous en vouloir, même ici en Bretagne buissonnière.
Si vous voulez davantage en savoir, descendez dans ce blog et vous pourriez lire l'histoire de ce pyrénéen, nommé Emile, qui un jour salua Printemps. d'un "super mes vaches l'herbe repousse, sortez-vous de l'étable Demoiselles, fini le foin Taureau"
Du foin Mars en a fait. Quelques jours plus tard grêle, grêlons, tonnerre, orage, et neige ont fait rentrer le troupeau. Et alors ? Et alors descendez la page et retrouvez l'article et lisez, s'il vous plaît. Et merci pour avoir aussi osé cliquer sur ces deux mots violets et rencontrer la pensée de Chateaubriant sur le Printemps en Bretagne.
Si vous voulez davantage en savoir, descendez dans ce blog et vous pourriez lire l'histoire de ce pyrénéen, nommé Emile, qui un jour salua Printemps. d'un "super mes vaches l'herbe repousse, sortez-vous de l'étable Demoiselles, fini le foin Taureau"
Du foin Mars en a fait. Quelques jours plus tard grêle, grêlons, tonnerre, orage, et neige ont fait rentrer le troupeau. Et alors ? Et alors descendez la page et retrouvez l'article et lisez, s'il vous plaît. Et merci pour avoir aussi osé cliquer sur ces deux mots violets et rencontrer la pensée de Chateaubriant sur le Printemps en Bretagne.
Photo à défaut de genêts ou d'ajoncs
Sinon, pour rappel "mnémotechnie" bretonne : Genêt, je ne pique pas - Ajonc, je pique. Un truc inoubliable pour faire la différence entre ces deux espèces)
Sur le lieu remarquable d'un village délicieux,
entre Pontivy et Guémené sur Scorff
une contée en cimetière il y a quelques années,
en juin 2008 ou 2009
Non, je n'ai pas évoqué la mort. Plutôt l'eau, qui fait les aquarelles et invite à sauver sa vie.
Réponse ??? Questionnez Lania
07 70 34 90 72
pour vos soirées contes à domicile.
Anniversaires et autres. Je m'adapte à la demande.
samedi 19 mars 2016
Veillée de la peur avec Familles en Mouvement à Rennes au Cercle Celtique
Un décor trop noir c'est noir, et pourtant jamais trop ;
Des dessins d'enfants à faire trouille-pétoche ;
Des enfants à la brochette, friands friands à l'idée de se frotter à la Peur ;
Leurs parents, pas les derniers pour se laisser aller à avoir peur ;
Et les conteurs Jacky Derennes, Abdallah Yacine, Stéphanie Lachal, et celle qui rédige à l'instant, Lania.
Des denrées communes : caves, escaliers, ombres, maisons, étranges méthodes de cuisson, cris et chuchotements.... hé hé hé
Wouhaou le fossoyeur et la bague au doigt,
Whouhaou le pont Bagoul, les lessives et les buées de la Paillette,
whoufahou l'Oiseau qui se moque du roi,
whouhaoula bassine à laver et la Main Verte du Dauphiné,
Whouaou le Curupira, Monstre du Brésil.
Bonjour l'ambiance, tendance verte.
Certains n'en menaient pas large : vidéo bientôt.
A savoir :
Si six cent six sots plongent dans l'eau, six cent six sangsues sucent le sang de six cent six sots.
La grosse cloche sonne...
A répéter dix fois chacun, et le second, avec précaution et surtout à l'adresse des oreilles adultes
Des dessins d'enfants à faire trouille-pétoche ;
Des enfants à la brochette, friands friands à l'idée de se frotter à la Peur ;
Leurs parents, pas les derniers pour se laisser aller à avoir peur ;
Et les conteurs Jacky Derennes, Abdallah Yacine, Stéphanie Lachal, et celle qui rédige à l'instant, Lania.
Des denrées communes : caves, escaliers, ombres, maisons, étranges méthodes de cuisson, cris et chuchotements.... hé hé hé
Wouhaou le fossoyeur et la bague au doigt,
Whouhaou le pont Bagoul, les lessives et les buées de la Paillette,
whoufahou l'Oiseau qui se moque du roi,
whouhaoula bassine à laver et la Main Verte du Dauphiné,
Whouaou le Curupira, Monstre du Brésil.
Bonjour l'ambiance, tendance verte.
Certains n'en menaient pas large : vidéo bientôt.
A savoir :
Si six cent six sots plongent dans l'eau, six cent six sangsues sucent le sang de six cent six sots.
La grosse cloche sonne...
A répéter dix fois chacun, et le second, avec précaution et surtout à l'adresse des oreilles adultes
Une soirée conviviale, à boire, à danser et chanter breton
et contes et musique encore avec Raydouane et un autre conteur,
berbère et marocain d'origine. Un très bon souvenir.
mercredi 16 mars 2016
#Borealia message aux blogeurs recensant des ouvrages jeunesse : thème mondes polaires et de Mongolie
Éditions Borealia cherche des blogeurs pour recensions d'ouvrages jeunesse et en ittérature contemporaine ayant trait au Nord, aux mondes polaires et autochtones, à la Mongolie. Vous pouvez envoyer vos propositions avec les adresses de vos blogs
dans un message privé sur la page facebook des éditions
ou à
contact@borealia.eu
jeudi 10 mars 2016
Petit conte de frayeur : Fermer sa porte à clef.
Chaque soir, Ella craint de fermer la porte de sa maison à clef.
Chaque soir, Ella s'inquiète et sa crainte augmente.
Chaque soir, Ella appréhende davantage d'introduire la clef dans la serrure.
Ce soir-là, Ella s'interroge. Et si quelqu'un me poussait au moment
où je fais tourner la clef, sûr que je tomberais à la renverse sur les trois
marches qui accèdent au salon ; les voleurs à un i près, je n'ose imaginer,
me piétineraient, à en rester au sol aux trois quart groggy. J'essaierai de
me relever et je ne cesserai pas de me répéter ce leitmotiv
"il faut que je parte d'ici, il faut que je m'en aille, il faut que je m'éloigne...
mais à la première de mes volontés, le malfrat où l'un des copains du malfrat me
relèverait ; il me traînerait par-dessus les marches, jusqu'à la chaise de cuir,
il me bâillonnerait, m'attacherait les mains, l'affaire serait faite, il me croquerait et elle regretterait l'absence de son portable qui une fois de plus ne se
trouverait pas dans sa poche, lui ferait défaut.
Ella approche la clef de la serrure. Un haut le coeur l'envahit :
non seulement elle sent qu'il y a quelqu'un derrière la porte mais sous
ses yeux, la poi-gnée tourne. Ella pense “mais non, ça ne va pas se passer
pour de vrai, ça va s'arranger...!" Son coeur s'emballe et bat la chamade.
Le rythme d'un tam-tam envahit ses tympans. Ella chancelle.
non seulement elle sent qu'il y a quelqu'un derrière la porte mais sous
ses yeux, la poi-gnée tourne. Ella pense “mais non, ça ne va pas se passer
pour de vrai, ça va s'arranger...!" Son coeur s'emballe et bat la chamade.
Le rythme d'un tam-tam envahit ses tympans. Ella chancelle.
La poignée s'abaisse.La porte roule sur ses gonds et en effet un homme apparaît. Le collant beige étire son visage en entier, les sourcils, les joues, le nez autant que faire se peut et l'homme se penche sur elle en criant
"Whou !"
Son hurlement parcourt toutes les ruelles, avenues et impasses de la ville. Lui, mort de rire, s'arrache le collant du visage !
Elle, morte de trouille, n'a qu’une seule envie, le gifler. Hébétée, elle bégaye "mais tu tu... tu trouves ça drôle, tu ne devais pas rentrer ce soir !"
"Heu oui, c’est vrai, mais je n'allais pas me passer de te faire cette surprise : c’est tout de même bien ton anniversaire ce soir ?”
Elle pose ses lèvres sur les siennes et, pour chacun, le monde s'efface.
Lania - jeudi 10 mars 2016
samedi 5 mars 2016
"Quatre boules de cuir" texte de Claude Nougaro
Claude Nougaro, hommage
Quatre boules de cuir tournent dans la lumière
De ton oeil électrique, Boxe, Boxe,
O déesse de pierre
Quatre boules de cuir, mes poings contre les siens,
Moi le jeune puncheur, Boxe, Boxe,
Lui, le vieux Kid Marin
Kid Marin c'est un grand et Dieu sait que je l'aime
Mais ses gants et mes gants ne pensent pas de même
O déesse de pierre, pour atteindre ton choeur,
Il n'est qu'une manière, Boxe, Boxe,
Il faut être vainqueur
Quatre boules de cuir sur quatre pieds de guerre
Bombardent le plexus, Boxe, Boxe,
L'angle du maxillaire
Quatre boules de cuir dans la cage du ring
Son crochet je l'encaisse,
Il esquive mon swing
Kid Marin, j'en ai marre de notre réunion
Je vais te faire voir
Qui des deux est champion
Quatre boules de cuir et soudain
deux qui roulent
Répandant leurs châtaignes
Dans le cri de la foule
L’un joue sur le tapis,
j'aperçois les chaussettes
De l'arbitre là-haut
4... 5... 6... 7...
Enfant je m'endormais sur des K. O. de rêve
Et c'est moi qu'on soutient
Et c'est moi qu'on soulève
Et voici les vestiaires, on débande mes mains
Kid Marin vient me voir, ça ira mieux demain
Ô déesse de pierre, je prendrai ma revanche
Et j'aurai ton sourire, comme une maison blanche
Oui, j'aurai ton sourire, point final de mes poings
Même si dans les coins, Boxe, Boxe,
J'y vois encore luire,
Quatre boules de cuir.
en souvenir des 18 ans d'un garçon toulousain et boxeur à fond
et
d'une soirée inter-générationnelle exceptionnelle.
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