mardi 12 novembre 2013
Bonjour. Anniversaire réussi pour la 100ème du journal "Maurepas Bonjour"
La 100 °du journal de Quartier "Maurepas Bonjour", hébergé par http://www.leslongspres.fr/ a vécu de beaux et bons moments, ce samedi 9 novembre.
Ateliers "écriture" journalistique, graphique, photographique, le matin.
Accueil des adhérents et du public du quartier pour de nouveaux instants partagés, l'après midi.
De bol tibétain en balafon, les mains, les oreilles, les bouches et même les gambettes se sont bien démenées.
Découpages, coloriages et écritures à propos du Bonheur qui comme chacun le sait, est dans le Pré,
pliages "origamiques", http://association-bretagne-japon.blogspot.fr/
lectures, pour ma part.
Et par exemple, le texte d'un auteur photographe rennais, Serge Palaric, dont certaines photos font l'objet d'une exposition aux Gayeulles actuellement. Son texte, intitulé "Te souviens-tu" en émut plus d'une et d'un. Tout comme le texte de Pierre Jakez Helias, intitulé "La Bêchée", réflexion universelle, sur le savoir et l'ignorance
RAPPEL
Je me permets de rappeler ce moment international (rires)que je suis la seule à soutenir sur Rennes, parce que même la STAR, auquel je l'ai proposé, n'en voit pas la nécessité.
Découvert chez nos amis Québécois, il s'agit de faire du dernier samedi de novembre -mois noir, en breton- la Journée Internationale du Bonjour. Comment ? En découpant 5OO rectangles verts et en allant les distribuer avec un sloggan tel le mien
"Bonjour, Journée internationale du bonjour,
Prenez mon bonjour, Bonjour" Mais chacun le sien
Quand j'ai la pêche, je bombarde mon tissu vert de "bonjour" blancs
Cette année pourrait être la troisième année de la Journée Internationale du Bonjour.
Au Québec cette tentative se décline : dans un réseau bars et cafés, au sein des collèges et Lycées et autres lieux, pour remettre le lien qu'est un Bonjour, en marche.
Bonjour et à bientôt.
Certains transforment le rectangle vert en broche, comme un signe de reconnaissance. Why not.?
dimanche 3 novembre 2013
C'était la nuit d'Halloween 2013
A dire vrai, je ne m'y précipitais pas. Mais ma grande voisine déjà, ma chère petite Camille, pâtissière hors pair, m'ayant fait goûter un de ses fameux fondants au chocolat m'a jeté un suspect et rieur "tu fais Halloween Lania ?" Un temps je leur a sis donné cette habitude, avec contes à la nuit noire et profonde dans le petit jardin voisin. Leurs parents les accompagnaient et ceux-ci n'étaient pas les dernier à jouer le jeu aussi.
J'ai donc fait provision de bonbons.
Au retour, craignant qu'elle ne soit malgré tout déjà passée, la nuit arrivait, j'installe mon coin.
J'obscurcis le lustre de l'entrée. J'éteins tous les autres. Je disperse des lanternes colorées faisant des jeux d'ombres sur les murs. Ne diffusant qu'une lumière éteinte. Je choisis un CD de bruits effrayants, halloweenesques, et trois saladiers que j'emplis de jelly, ou de lentilles, ou corn flakes dans lesquels je glisse des suceriez. Des sortes de filaments serpentiniesques aux goûts piquants, des schamallows et des oursons aux lentilles. Me voilà prête.Pas tout à fait. J'attrape mon faiseur d'éclairs et de tonnerres. Ambiance Carpates. Succès assuré. Ah, j'oublie de dire. Ce n'est pas facile d'avoir des bonbons chez Lania la nuit d'Halloween.
Il faut ne pas éclairer le seuil. Malheur à celui qui a allumé la lumière de la coursive. Il devra répéter 10 fois un vire langue du style "J'aime la pêche aux bonbons mais les manger une fois pêchés c'est pêché" Malheur à ceux qui accompagnent celui-ci. Ils devront le dire aussi.
Ensuite, on ne se précipite pas. Il s'agit d'atteindre les bonbons. Il faut s'agenouiller, repérer, passer la main dans la manche. Une manche par saladier ah ah ah ah "J'ai peur" dit une petite voix. Ah ah ah ah Bon je fais attention. C'est ma première candidate, et elle n'a que cinq ans. J'adoucis Halloween. Elle est ravie. Ouf, merci Lania à l'année prochaine.
Les plus grands passent plus tard. Le CD de rires irritants, les os qui craquent et claquent et grincent brrrrr, grrrr Ils rigolent bien sûr mais jouent le jeu des manches. Ils commentent : "c 'est super Lania, y en a beaucoup qui ne nous ont même pas ouverts. Peu avaient préparé des bonbons. Encore moins, et personne ne se déguise comme toi super"
Oui, je les laisse dire.
J'ai donc fait provision de bonbons.
Au retour, craignant qu'elle ne soit malgré tout déjà passée, la nuit arrivait, j'installe mon coin.
J'obscurcis le lustre de l'entrée. J'éteins tous les autres. Je disperse des lanternes colorées faisant des jeux d'ombres sur les murs. Ne diffusant qu'une lumière éteinte. Je choisis un CD de bruits effrayants, halloweenesques, et trois saladiers que j'emplis de jelly, ou de lentilles, ou corn flakes dans lesquels je glisse des suceriez. Des sortes de filaments serpentiniesques aux goûts piquants, des schamallows et des oursons aux lentilles. Me voilà prête.Pas tout à fait. J'attrape mon faiseur d'éclairs et de tonnerres. Ambiance Carpates. Succès assuré. Ah, j'oublie de dire. Ce n'est pas facile d'avoir des bonbons chez Lania la nuit d'Halloween.
Il faut ne pas éclairer le seuil. Malheur à celui qui a allumé la lumière de la coursive. Il devra répéter 10 fois un vire langue du style "J'aime la pêche aux bonbons mais les manger une fois pêchés c'est pêché" Malheur à ceux qui accompagnent celui-ci. Ils devront le dire aussi.
Ensuite, on ne se précipite pas. Il s'agit d'atteindre les bonbons. Il faut s'agenouiller, repérer, passer la main dans la manche. Une manche par saladier ah ah ah ah "J'ai peur" dit une petite voix. Ah ah ah ah Bon je fais attention. C'est ma première candidate, et elle n'a que cinq ans. J'adoucis Halloween. Elle est ravie. Ouf, merci Lania à l'année prochaine.
Les plus grands passent plus tard. Le CD de rires irritants, les os qui craquent et claquent et grincent brrrrr, grrrr Ils rigolent bien sûr mais jouent le jeu des manches. Ils commentent : "c 'est super Lania, y en a beaucoup qui ne nous ont même pas ouverts. Peu avaient préparé des bonbons. Encore moins, et personne ne se déguise comme toi super"
Oui, je les laisse dire.
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