Mis à part, tenez, approchez, ce n'était pas moi qui contait.
Quand Annie m'a proposé la soirée, j'ai tout de suite accepté. Une soirée châtaigne, une soirée contée... c'était ok : ça ne se refuse pas.
Je ne savais même pas que le conteur conterait gallo. Je connais ce parler fleuri, ces images marrantes, cette spontanéïté, ce contact avec le public. Bruno c'était lui, l'a établi aussitôt. Nous cherchions à mettre le portable en mode discret. Il l'a joué mode connivence "Vous l'appelez, il va venir, c'est le prince charmant..," Sourires.
Nous n'en avions jamais entendu parlé. Nous sommes allées l'écouter sans à priori.
J'ai tout aimé, y compris son musicien. Auquel je présente d'emblée mes excuses. Je crois me souvenir que son prénom commençait par un F... à peine sûre. Mais je le re-remercie pour la chanson qui parlait de tramontane et de sardane et dont l'air m'est revenu. Et pour les autres aussi. J'aime les chants à réponds.
J'ai tout aimé. Je me suis même surprise à penser "il devrait passer chez Ruquier. Surtout avec son sketche "Tapez 1, tapez 2" Si vous aimez chanter, si vous aimez écouter et si vous désiriez voir une salle écroulée de rire, joignez Bruno. C'est simple : appelez au restau. C'est lui qui officie au piano.
J'ai tout aimé Bruno, mais surtout ton merveilleux conte au djembé. Sans djembé. Fort.
Je vais jouer la blague facile, j'ai honte déjà. Ce conteur qui s'appelle Bruno, je pense qu'il y a longtemps qu'il fait son Chemin. Enfin, à vrai dire et de visu, rires, pas si longtemps que ça. Au fait, merci à ta femme et à sa soeur jumelle.
A bientôt du côté de Domprierre.
Merci Annie de m'avoir invitée.
Chance pour moi d'être allée de Pacé à Parthenay. Au fait, c'est l'heure du repas : j'men va roucher.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire