samedi 20 novembre 2010

20 novembre 2010 :Semaine de la solidarité à Beauregard, quartier rennais.

Il était une fois, il y avait il n'y avait pas, c'est déjà du passé. C'était beau c'était bien.
Côté LLAPAKU, un répertoire bolivien des Aymaras et côté Contes un répertoire sud américain, slave, oriental, africain. Une alternance en lien. Un public attachant : 4 adultes et une bonne trentaine d'enfants !!!! Clin d'oeil.
Ascension du Machu Pichu

Hommage au Soleil. Hommage à une célèbre sculptrice des lieux.
Symposium de sculptures pour un hommage à Aurélie Nemours.
BaoBaB grand fort beau haut et prétentieux "Courbez-vous ! Admirez-moi !"

Nous foulons le cadran solaire en musique avec LLAPAKU et leurs instuments de musiques flûtes de pan et tambours avec German, Miguel, Marie, et les trois autres musiciens du groupe LLAPAKU.

Arrêt devant les jardins associatifs situés derrière la Maison du Parc.Il est bon d'apprendre pourquoi l'Epouvantail assis sur le banc semble effondré. Où l'on voit qu'il n'est pas drôle d'être jeune grand, beau, riche, et toujours célibataire, mais qu'il est bon d'avoir un jardinier et avec son aide de se salir histoire de trouver chaussure à son pied. Tout du moins en Géorgie.
Mot-clé Jardinier, le mot est lâché. Emilie notre guide, nous invite à rencontrer Rémi, un des jardiniers associatifs des 17 parcelles. Nous écoutons ses explications passionnées.

Légende de l'oiseau brésilien Uirapuru, oiseau difficile à remarquer au milieu de la forêt amazonienne du fait de son plumage terne. Quand il chante, tous les autres oiseaux et animaux se taisent. Celui qui a la chance de l'entendre ne peut plus jamais être malheureux. (D'après la conteuse et écrivaine Béatrice Tanaka in "La Fille du Grand Serpent" Contes du Brésil)
J'ai pour ma part, adoré apprendre qu'on pouvait améliorer la terre en semant un mélange de graines de moutarde et autres. Quand le semis opusse, le jardinier coupe le tout mais le laisse sur place à pourrir pour nourrir la terre.
Nouvelle direction : les serres de l'Epi et les Jardins du coeur.
Bienveillante représentation de la Pacha Mama Déesse de la Terre

Passage au-dessus de la rocade. Les rythmes des Hauts Plateaux Andins nous entraînent sur le chemin. Les musiciens sont excellents. C'est un plaisir que de les écouter et de nous laisser aller à danser derrière eux. APP : arrêt plaisir paroles.

Les pommes de terre sont nées des plateaux andins, mais il est international qu'ont se fatigue à les ramasser, surtout en pays Lissou (à deux pas du Thibet, quatre du VietNam). Mots-clé : grand-père et tambour. German nous apprend que le chant que le groupe vient d'exécuter concernait justement la pomme de terre.
Arrêt sous les serres de l'EPI. Insertion par le maraîchage, vente de paniers de légumes bio, toutes les explications sont transmises sur les contraintes et les techniques issues du Bio et la nécessité de l'existence de telles structures.
Et l'on reprend le chemin. Les rencontres se croisent. On papote avec celui-ci,

On papote avec celle-là. L'ambiance est très agréable. Chacun découvre et constate que Beauregard n'est pas seulement constitué d'immeubles, d'un "phare" et d'un centre commercial. Beauregard est un quartier ouvert sur la campagne.
Retour à la Maison du Parc.

Le groupe LLAPAKU nous offre une partition rondement menée et frappée : nous la suivons avec plaisir, sourire et mains qui claquent.
Toutes les bonnes choses ont une fin. Une bonne fin. Conclusion café et jus de fruits marché équitable pour ne pas les nommer. Excellente idée chaleureuse car il faisait frais et humide ce jour.
Une dernière parlote destinée aux quatre adultes [dont celui au penbazh] Grand Chef Cacique descendant des Hauts Plateaux pour lever le doute et savoir non pas pourquoi, mais "Comment les Dieux font avec les Déesses"

Parlote pour eux comme pour TousToutes
La dernière histoire nous entraîne sur le continent Africain. C'est celle d'une petite gourmande courageuse. Mots-clés : papa, maman, mon frère et le lion. Face à moi, deux panneaux. Quelques mots : Sénégal, Bamako, la Famille. Roââârh, foi de lion dévoré. Cerise sur le gâteau. Mais pas la dernière.
Retour par l'autobus. Je parle avec mon beau voisin. Il est géorgien, comme l'histoire du jardinier. Cool ! Et de deux.
Et de trois, un livre de contes du Niger devrait prendre place sur mes étagères. Merci beaucoup Madame l'aimable Professeure de Français. Sans oublier l'évocation inattendue de Gigi Bigot et Pépito Matéo ! Excellent. Merci Nadège. Reste à féliciter les initiateurs de cette randonnée. La boucle est bouclée, comme bien souvent dans le conte. Il y avait. Il n'y avait pas. Qui l'a dit ? Pas moi ! dit la conteuse. FIN

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