Ilest né le 21 juin. J'avais eu le coup de foudre sur le lieu du Chateau d'Eau. On a envie de tirer son chapeau : le plus dur c'est quand on n'en porte pas. Comment faire ? aurait dit Babar.
Souhaitons que de petites vieilles dames riches remarquent fort heureusement que certain(e)s déchapeauté(e)s aimeraient soulever leur chapeau.
C'est jusqu'au début d'octobre 08 -je crois-
mardi 23 septembre 2008
dimanche 14 septembre 2008
J'ai un faible pour le blog de la Luciole
Toujours dans l'intuition, je vous invite à reporter le lien qui suit dans Google envoyer http://khassiopee.over-blog.com/article-12421960.html
et vous retrouverez cette bastide dont j'aime vous parler à propos d'un pain me dit-on universel (ah bon ?.... Mais oui, celui de notre enfance, me répond-on. Ah nostalgie.) Et en plus on y écrit. Va falloir que j'y retourne et concrétise.
jeudi 11 septembre 2008
Une belle l'histoire. Joël se pinça quand il aperçut la cane...
en train de s'installer dans un de ses bacs à plantes.
Alors qu'il entrait des données dans son ordinateur, des données comptables car Joël était comptable, un mouvement à l'extrême de son oeil droit lui fit tourner la tête. Il se dépêcha de sauvegarder pour n'en perdre aucune et tourna tout son corps en entier. Il resta main levée et bouche ouverte. Devait-il croire ce qu'il voyait ? Oui. C'était bien une cane en plumes et en pattes qui terminait son vol en atterrissant sur le rebord de sa fenêtre. C'était bien une cane qui s'installait comme chez elle dans l'un de ses bacs à plantes. C'était bien une cane qui semblait vouloir élire domicile là, sous ses yeux. Incroyable, murmurait-il, incroyable, si je ne pensais pas cette chose incroyable, j'aurais le sentiment qu'elle veut s'installer pour quelques temps.
Il ne se trompait pas. Quelques jours plus tard la cane avait pondu dix oeufs et les couvait.
Dès lors chaque matin Joël partait avec entrain à son travail excité de comprendre où en était la cane.
Quelques matins plus tard les oeufs déjà fendillés, craquaient et ofraient la lumière du jour aux canetons dorés. La cane semblait satisfaite de sa petite famille. Joël et ses collègues étaient curieux. Il s'approchèrent plusieurs fois de la grande baie au cours de la journée. Il y avait de quoi s'ébahir. Joël et ses collègues travaillent au troisième étage d'un établissement bancaire new-yorkais.
Quand Joël poussa un cri tous les agglutinés le poussèrent aussi. Et ceux qui ne l'étaient pas se levèrent et vinrent appuyer leurs fronts sur la vitre. Certains se montrèrent goguenards "Alors, elle est où votre cane ?" La cane s'était envolée sur le trottoir.
Dans les têtes on se demandait ce qu'elle allait faire ? La réponse fut rapide. La cane leva le bec et se mit à cancaner. Joël comprit aussitôt qu'elle appelait ses petits. L'un d'eux, aussi fragile que les autres mais peut-être davantage audacieux, s'est approché du rebord de la fenêtre et.... Joël eut un frisson de crainte "non mais je rêve, cet oisillon ne va tout de même pas se..." Et bien si. Joël s'est éloigné aussitôt et sans attendre l'ascenseur a descendu les escaliers quatre à quatre. A chaque demi palier, sa manoeuvre tenait du plein vol. Un véritable exploit. Quand il est arrivé sur le trottoir il soufflait si fort qu'on aurait pu l'imaginer enfant dans la famille phoque. Mais il n'était pas l'heure de jouer au Jeu des 7 Familles. Il était l'heure de chouchouter le marmot de Maman Kane. Un seul regard lui suffit pour découvrir l'audacieux aux côtés de sa mère. Seul signe de sa chute, il avait le duvet ébouriffé. Pour être tout nouveau tout beau son pas divaguait. "Regardons le bon côté des choses" se dit Joël : audacieux mais vivant. Pas si mal. Et les autres ? Comme il regarda la cane il constata qu'elle levait le bec. Les autres allaient suivre sûr et certain.
Elle recommença son manège Et que je cancane et que je te recancane, elle appelait ses autres enfants. Impossible d'en douter.
Joël se cacha dans l'encoignure du bâtiment et guetta la chute du suivant. Alors il se présenta au bon moment et levant les mains, l'attrapa au vol et le déposa au sol ! Un miracle. A peine a-t-il le temps de savourer sa victoire... c'est... au suivant ! Et de suvant en suivant, jusqu'au dernier, Joël les rattrape tous. tous. Excellent.
Magnifique. Beautiful ! Marvelous ! Wonderful !
Désolée, mais Joël travaille à New York, pourquoi s'exclamerait-il en français !
Et maintenant ?
Simplissime. Les pitchoux suivent leur mère et il était temps. Pour ce monde-là 48 h pourrait bien être le maximum de temps pour que se produise l'attachement. C'est plutôt amusant et rassurant de voir faire la petite famille. Mais Joël est un être attentif : il s'interroge. Comment vont-ils faire pour trouver un univers aquatique approprié. C'est une nécessité vitale. Il réfléchit et se souvient de l'existence d'un bel étang, quelque part au-delà de trois quartiers. Aussitôt il voit surgir autour d'eux tous les dangers qui ne tarderont pas à les guetter : les dangers urbains : les roues des voitures, des camions, des taxis, des autobus, jusqu'aux planches des skatters. Joël pense qu'il lui faut faire quelque chose. Mais quoi ? Impensable !! Impensable !!! Il doit agir.
C'est alors qu'il est tiré de sa réflexion. Quelqu'un crie son nom "Joël, Joël. prend ça, ça les aidera !" "ça" c'est un carton assez profond. Une sorte de caisse Le visage de Joël s'éclaire d'un large sourire. Excellent, pourquoi n'y avait-il pas pensé plus tôt. Il remercie son collègue qui arrive en courant et saisit la caisse en carton qu'il lui tend. Puis il ramasse chacun des canetons mais à chaque fois il montre à la cane ce qu'il fait, il montre à la cane ses canetons. Elle, elle cancane. Comprendrait-elle ? Comme il remonte le long du trottoir, il laisse un peu basculer la caisse de façon qu'elle puisse apercevoir ses pitchoux. Sur le trajet chacun s'extasie, ou prend Joël pour un fou. D'autres font semblant d'applaudir pour ne pas effrayer la cane et les petits. Joël attend parfois la cane. Puis de fil en aiguille, rue après rue, avenue après avenue, il se rapproche d'un étang. S'en rapproche tant qu'il se décide à incliner la caisse jusqu'au sol. Tranquilles, les canetons qui n'ont que peu de temps pour échapper à un destin contraire se rassemblent en un beau triangle doré, derrière leur mère. Celle-ci plonge dans l'eau et ses petits la suivent. Joël est ému en regardant la troupe s'avancer vers le milieu des eaux. Mais il l'est encore davantage en remarquant le manège de la cane. Plusieurs fois elle revient vers lui puis repart. A chaque fois ses canetons la suivent... Tant pis pour le ridicule : il secoue la main pour la saluer et il regarde la famille s'éloigner, en quadrille, tous derrière mais bien vivants. Il jurerait qu'elle est venue le remercier. Il aime à penser que c'est vrai.
Babar ? Je me souviens bien de ces deux pages
lundi 8 septembre 2008
La même année que celle de ma naissance
Cent ans avant, naissance de Maupassant, écrivain. Cent ans après,
La même année que celle où ma mère me donnait le jour, celle de Guido Daniele , peintre.
Une suggestion : recopier le lien suivant sur la barre Google ou au choix http://www.guidodaniele.com/
ou d'une nouvelle copie, cet autre lien qui suit http://www.guidodaniele.com/videos/trinidad.html
au revoir et à bientôt
dimanche 7 septembre 2008
Bonjour les enfants, mains ou toucan ? Regardez
vendredi 5 septembre 2008
Nul n'est parfait surtout pas le conte....quoi que....
Armez-vous : je dépose un texte à lire
C'était il y a longtemps, vraiment longtemps, c'était au soir du sixième jour de la Création. Dieu avait rassemblé dit-on, tous les animaux qu'il avait créés. Il avait rassemblé les bêtes domestiques autant que les bêtes sauvages, les oiseaux autant que les poissons et les reptiles. Et ceux-là avaient tous répondu présents. Ils se réjouissaient ensemble de la perfection du monde qu'Il avait fait naître. Il y avait un fameux brouhaha. Chaque créature le remerciait. Chaque ? Pas vraiment. Brebis ne le remerciait pas. Brebis se tenait tristement devant Son trône et Il ne pouvait ignorer qu'elle était attristée. Il l'interrogea.
"Pourquoi tant de tristesse Brebis ? Te manque-t-il quelque chose ? J'ai le sentiment que tu n'es pas aussi heureuse que les autres animaux !"
"En effet," répondit-elle, "je ne suis pas heureuse : rien ne me réjouit. J'aimerais me réjouir. Mais comment le pourrais-je quand Tu m'as créée sans défense ? Incapable de protéger ma vie, comment pourrais-je me réjouir ?"
Dieu réfléchit. Il interroge Brebis
"Si je te donnais des griffes comme j'en ai donné à l'ours et au vautour, te réjouirais-tu ?"
Brebis tourna la tête de droite à gauche pour dire non.
Dieu lui demanda
"Peut-être préférerais-tu des crocs comme le lion ou le loup en ont reçus de ma part ?"
Brebis hocha la tête pour dire non. Mais cette fois elle alla plus loin. Elle fournit une explication.
"Non" dit-elle, car je pourrais faire du mal à quelqu'un. Ce qui me réjouirait serait que je puisse me défendre sans faire de mal à quiconque !"
Dieu resta silencieux un instant puis il reprit la parole. "Je t'ai écoutée Brebis. Je t'ai comprise. Ce que tu désires, c'est vivre dans l'amour et la paix. C'est légitime. Il me plaît que tu puisses te réjouir. Et je vais y veiller. Désormais tu pourras te protéger de tout mal et tu brutaliseras personne. Dès ce jour je te fais soumise, dévouée et patiente"
(Texte original intitulé "Les armes les plus puissantes" etplus ou mmoins extrait de l'ouvrage "CONTES JUIFS" GRÜND -
Dehors il pleut à verse et à vent.
C'était il y a longtemps, vraiment longtemps, c'était au soir du sixième jour de la Création. Dieu avait rassemblé dit-on, tous les animaux qu'il avait créés. Il avait rassemblé les bêtes domestiques autant que les bêtes sauvages, les oiseaux autant que les poissons et les reptiles. Et ceux-là avaient tous répondu présents. Ils se réjouissaient ensemble de la perfection du monde qu'Il avait fait naître. Il y avait un fameux brouhaha. Chaque créature le remerciait. Chaque ? Pas vraiment. Brebis ne le remerciait pas. Brebis se tenait tristement devant Son trône et Il ne pouvait ignorer qu'elle était attristée. Il l'interrogea.
"Pourquoi tant de tristesse Brebis ? Te manque-t-il quelque chose ? J'ai le sentiment que tu n'es pas aussi heureuse que les autres animaux !"
"En effet," répondit-elle, "je ne suis pas heureuse : rien ne me réjouit. J'aimerais me réjouir. Mais comment le pourrais-je quand Tu m'as créée sans défense ? Incapable de protéger ma vie, comment pourrais-je me réjouir ?"
Dieu réfléchit. Il interroge Brebis
"Si je te donnais des griffes comme j'en ai donné à l'ours et au vautour, te réjouirais-tu ?"
Brebis tourna la tête de droite à gauche pour dire non.
Dieu lui demanda
"Peut-être préférerais-tu des crocs comme le lion ou le loup en ont reçus de ma part ?"
Brebis hocha la tête pour dire non. Mais cette fois elle alla plus loin. Elle fournit une explication.
"Non" dit-elle, car je pourrais faire du mal à quelqu'un. Ce qui me réjouirait serait que je puisse me défendre sans faire de mal à quiconque !"
Dieu resta silencieux un instant puis il reprit la parole. "Je t'ai écoutée Brebis. Je t'ai comprise. Ce que tu désires, c'est vivre dans l'amour et la paix. C'est légitime. Il me plaît que tu puisses te réjouir. Et je vais y veiller. Désormais tu pourras te protéger de tout mal et tu brutaliseras personne. Dès ce jour je te fais soumise, dévouée et patiente"
(Texte original intitulé "Les armes les plus puissantes" etplus ou mmoins extrait de l'ouvrage "CONTES JUIFS" GRÜND -
Dehors il pleut à verse et à vent.
jeudi 4 septembre 2008
Lania à Chartres de Bretagne, le mardi 14 octobre 2008
Impossible d'en avoir gros sur la patate avec ce sujet, bien au contraire, c'est la frite !
Et les images en ce siècle parlant mieux encore que les mots, je dépose ici l'affiche concernant cette intervention
Recommandation : téléphoner pour avoir sa place au chaud. Ce qui est sûr c'est qu'on ne s'y pèlera pas ! ah ah !
Et les images en ce siècle parlant mieux encore que les mots, je dépose ici l'affiche concernant cette intervention
Recommandation : téléphoner pour avoir sa place au chaud. Ce qui est sûr c'est qu'on ne s'y pèlera pas ! ah ah !
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