http://www.youtube.com/v/v0EGAqaV6SY
Les photos qui apparaissent sur le bandeau de www.lcomlania.com, lui appartiennent.
Bien le bonjour Franck et bravo pour ce portrait où les mots qui sont dits et te concernent ne sont autrement que vrais. Amitié
mardi 26 février 2008
dimanche 24 février 2008
Egypte : contes et musique : quelques références
L'engouement de 6ème, et jamais disparu, pour pour les Mythologies et aussi l'égyptienne ; ma curiosité pour les musiques d'ailleurs, et notamment l'imprégnation des airs "dits enfantins" ; une découverte, faite l'an passé au gré de mes promenades à travers les rayons des bibliothèques que je fréquente, découverte qui m'avait laissée très émue, émotion que j'ai retrouvée dans ma dernière lecture. Et si je vous en parle c'est parce que je possède les ouvrages ... Alors en clair, chez
arb.www.arbmusic.com, "L'Egypte : Les rondes, comptines et berceuses" et sa suprise : une jolie voix féminine accompagnée de belles v oix masculines et de percussions qui donnent envie d'entrer dans le chant : tabla, flûte, accordéon et cithare. Des comptines dont parfois les airs rappellent certaines ritournelles françaises.
Flammarion, Champs : Contes et récits de l'Egypte ancienne de Claire Lalouette
Actes Sud : Contes d'Alexandrie de Eglal Errera, un bijou fameusement illustré
Tout ça pour vous permettre d'y retourner tout seul. Au revoir
arb.www.arbmusic.com, "L'Egypte : Les rondes, comptines et berceuses" et sa suprise : une jolie voix féminine accompagnée de belles v oix masculines et de percussions qui donnent envie d'entrer dans le chant : tabla, flûte, accordéon et cithare. Des comptines dont parfois les airs rappellent certaines ritournelles françaises.
Flammarion, Champs : Contes et récits de l'Egypte ancienne de Claire Lalouette
Actes Sud : Contes d'Alexandrie de Eglal Errera, un bijou fameusement illustré
Tout ça pour vous permettre d'y retourner tout seul. Au revoir
vendredi 22 février 2008
Bonjour Festival L'ILLORIENTAL voilà l'affiche
Pour en savoir plus et davantage : rubrique Agenda sur le bandeau et toujours ce n° de téléphone 06 71 51 01 18 et cette adresse e.mail el_noor_ed_dunia@hotmail.fr
Ercé prés Liffré le vendredi 14 mars : ambiance égyptienne
Dégustation de spécialités égyptiennes hummmmmmmmmmm : 7 € 50 mezzé + pâtisseries
et de contes : crocodiles, frères, pharaons, livre, magies, cigognes, calife, sultan, babouches, chrétien, musulmans, juifs, danseuses..... pour des rencontres croisées....
A vous y voir........... à vous reconnaître.......... à vous retrouver......... à partager :
gratuité jusqu'à 5 ans - 3 € pour les 6-11 et 5 € pour les 12 +
Le vendredi 14 mars à partir de 19 H 30
Affiche suivra.
Pour tout renseignement :
et de contes : crocodiles, frères, pharaons, livre, magies, cigognes, calife, sultan, babouches, chrétien, musulmans, juifs, danseuses..... pour des rencontres croisées....
A vous y voir........... à vous reconnaître.......... à vous retrouver......... à partager :
gratuité jusqu'à 5 ans - 3 € pour les 6-11 et 5 € pour les 12 +
Le vendredi 14 mars à partir de 19 H 30
Affiche suivra.
Pour tout renseignement :
FESTIVAL ILLORIENTAL 2008
06.71.51.01.18 ou
el_noor_ed_dunia@hotmail.fr
15 ET 16 MARS DE 14 H 0 18 H
Stages de danse orientale avec Diane TARKHAN qui vient du CAIRE
mardi 19 février 2008
Petits textes à JouJou
Amour divers
Deux fenêtres breizh
s'inondent d'un soleil
invisible
froid pourpre
nuit d'encre hier.
Demain s'aurore.
Hiératique
Immobile,
Engourdi,
le pigeon rond et gris
contemple
la lierre étreinte bleue
Témoignage
Entre hiver et printemps
roses sont de bois
sous le cèdre du Liban
JouJou
Deux fenêtres breizh
s'inondent d'un soleil
invisible
froid pourpre
nuit d'encre hier.
Demain s'aurore.
Hiératique
Immobile,
Engourdi,
le pigeon rond et gris
contemple
la lierre étreinte bleue
Témoignage
Entre hiver et printemps
roses sont de bois
sous le cèdre du Liban
JouJou
lundi 18 février 2008
Une conteuse à Toulouse A la MJC Pont des Demoiselles
pour rendre visite à ce joli visage mutin, une conteuse qu'elle ne connaît pas. Contes en pyjama : j'ai moi-même emmené ma chemise de nuit et mes chaussons d'argent. L'heure est à la tisane : 19 h. J'arrive en avance : elle installe son décor en compagnie de quelques animateurs du lieu -deux sont du Mans : y a plus de rennais, ya plus de toulousains.... je plaisante, sourire- Je me présente et en deux temps trois mouvements j'apprends que les Sybilles -Sybille est son prénom- sont des oracles : autant pour moi. L'un de mes personnages s'appelle ainsi mais je ne connaissais pas la référence. Ce qui me plaît, ce sont les deux rouleaux de prés verts étendus sur le sol ; les deux gros pochons d'où elle sort, le geste auguste, coussins de couleurs étoilés et doudoux divers. Les lampes de nuit qui projettent des dessins animés ; son rideau de fond qui miroite doucement ; son trône or et rouge ; quelques fleurs et marionnettes indiennes ; sa voix avec micro je crois ; son entrée en matière un peu moins mais elle fait rire les enfants et prétexte leur sagesse ; ses histoires ; celle de Palestine Marrouské -je me trompe peut-être- ; celle d'Afrique, du Baobab blessé et au cours de celle-ci la jeune enfant de moins de deux ans qui déambule en prononçant comme une gourmandise baO baB bA ObAb BAOBaB ; la dernière, jamais dite par moi, mais peut-être l'une de mes préférées : la petite sirène d'Argentine : parmi le petit public, au cours de celle-ci, la même enfant qui se promène seule au monde : elle se prend et mime la vague. Nous sommes tous ailleurs : les adultes ont le sourire aux lèvres : ils flottent. Je me demande si ce n'est pas nous qui prétextons les contes pour les enfants pour les écouter de nouveau et même en découvrir d'autres ; ah les enfants, merveilleux prétextes. Ah la jolie voix cristalline de Sybille -marionnettiste aussi- son joli costume coloré et miroitant, et ses belles mimiques et cette façon de devenir l'un des personnages puis tout aussitôt celui qui suit. Théâtral mais en accord avec la scène. Et le tout grave, joyeux, grave, vivant, tendre, souriant, émouvant. Et le petit verre de tisane. Pour en savoir plus sur Sybille : La Ch'tite Bohême Cie - contact : sybille-bligny@wanadoo.fr Ce qui me plaît : cette jeune maman aux longs cheveux bruns qui entre avec ses deux garçons et avec laquelle j'échange conversation. La colline de Fourvière soudain apparaît dans la pièce. Nous nous retrouverons. Secret entre nous : chut, aujourd'hui, c'est fait : vive le net.
dimanche 17 février 2008
La recette des Doigts de Fée : hum délicieux
Courage :
Facile, 30' de préparation, 12 mn de cuisson "ma o meno comme disent les vénézuéliens : prudence, sinon les doigts brunissent trop. Mais soudain me vient une réflexion : et quand les fées sont africaines de quelle couleur sont leurs doigts à la cuisson ? J'ai une réponse. Elle s'approche d'une interprétation de Théodore Monod : peu importe la couleur de dieu !
Ingrédients :
Pour 6 personnes : 130 g farine, 100 g amandes en poudre, 100 g beurre ramolli, 60 g sucre glace, 1 blanc d'oeuf, 1 cuillère à café fleur d'oranger, 1 pincée de sel, sucre glace pour décorer.
A partir de là c'est, ma o meno, comme dans la recette du gâteau d'amour de Peau d'âne, moins le côté poétique. Alors mesurez ou amplifiez vos gestes pour être dans la fairie
A - Verser la farine dans une terrine. Creuser un puits. Déposer sel et amande en poudre. Mélanger du bout des doigts, ajouter le beurre coupé en dés et le sucre glace.
B - Travailler toujours du bout des doigts et délicatement jusqu'à obtenir une pâte bien liée. Mélanger rapidement -ces deux choses à la réflexion me semblent difficile à faire mais ma fée de fille a semble-t-il bien réussi l'expérience-
C - Préchauffer four à 180°C. Fariner le plan de travail, partager la pâte en deux longs boudins. Les découper en petits morceaux.
D - Leur donner la forme effilés de doigts d'environs 5cm de long -où à votre convenance-. Recouvrir la plaque du four de papier sulfurisé. Y déposer les biscuits.
E - Mettre au four pendant ma o meno comme disent les vénézuéliens. A la sorie saupoudrer les doigts de sucre glace et laisser-les refroidir.
Parfum : au goût de votre touche personnelle : extrait de vanille, de café, essence de citron ou zestes d'oranges, soupçon de cannelle ou de gingemb re : entre les deux chênes pour la fantaisie la porte est ouverte sur le monde de faierie. Belle dégustation
Rendons à César : http://internaute.com/femmes/cuuisine/recette/307640/1302686038/les-doigts-de-fees.shtml
samedi 16 février 2008
Les Fées à Saint Jacques c'était
.... ce soir, cet après midi, demain, hier, et après demain, avant avant hier.
Il y avait un homme. Il sortait de la forêt et restait surpris par l'apparition de deux chênes, et juste entre deux une porte. Etonnants ces deux chênes et cette porte soudaine. Et si je frappais ? Voilà chênes et porte qui disparaissent et l'homme qui entre en pays de fairy. Et les fées qui font comme si de rien n'était et jouent l'une après l'autre aux "10RHEUREUXDOIGTS". Puis au détour d'une goutte de pluie, l'une des fées raconte l'histoire de la princesse qui jouait à la balle d'or.... à la balle, jolie balle, d'une main, de l'autre, d'un pied, de l'autre.....
Une suivante, toute joliette mignonnette, se met à raconter celle du Petit garçon que son nez piquait.
C'est alors que le féetaud pose une devinette qui laisse tout le monde si bouche bée qu'à l'oublier. Il est tout petit, tout blond : il reste sur sa faim. Et puisqu'il reste sur sa faim, ces drôles de gâteaux allongés dans leurs petits plats dorés qui l'intrigue pour de vrai, ne pourrait-on les goûter ? 17 h, une bonne heure pour le faire. Tout le monde goûte les doigts de fées -c'est une vraie recette-, les grandes fées, comme les plus petites. Merci Fée Nina, délicieux. Ventre plein les fées se remettent à causer autour de la fontaine : l'une d'elles du Roi Crapaud et elle chante A la balle jolie balle et tout le monde chante avec elle. Inspirée, une autre se lance dans cette histoire, incroyable, de roi qui veut épouser sa fille. Autrement dit.... autrement dit..... celle de la courageuse Peau d'Âne qui ne veut pas, non non non non, épouser son papa. Et elle a bien raison car non non non non il ne faut pas que les papas épousent leur petite fille. Enfin Lania apprend à tous comment elle est entrée dans la bibliothèque. A ne pas la croire. Mais faut-il ne pas croire ? Et le conte est fini.
Prochain rendez-vous le samedi 5 avril 2008 à 16 h 30.
Sujet ? Surprise !
Et la devinette ? Allez, je vous la cède : Quelle est la fée la plus méchante ?
Ah non, pour la réponse c'est quand vous reviendrez. A moins que vous ne la sachiez ?
vendredi 15 février 2008
Les Fées au Cercle Jean Chaubet
J'ai proposé.
La délicieuse bibliothécaire a accepté.
Le président et l'animateur ont suivi.
Bref, au pied levé, sous quatre jours, avec des points d'interrogation : un challenge. Qui serait là ?
Résultat : un impromptu réussi. Une bonne vingtaine de personnes -surtout des enfants- une dizaine de mamans, et deux papas qui se sont heureusement joints à leurs voix et les ont bien soutenues : bref une superbe séance, du plaisir plein les yeux et les doigts, et des photos qui risquent d'être très intéressantes, à venir ultérieurement. Des moments : cet enfant qui m'offre la millième nuit alors que je ne voudrais m'arrêter qu'à la septième, ces enfants qui font à l'identique les gestes des doigts de fées, celle-ci qui vient vers moi comme hypnotisée et qui se tient tout prêt dans une étonnante proximité, sans bouger, et m'écoute parler le visage plongé dans la gravité : on ne rigole pas avec les fées, le sujet est léger peut-être, mais profond : tout le monde ne voit pas les fées. Il faut être élu.
Il y avait de l'élection au bonheur et au sourire dans cette séance : elle fut un plaisir. Et les roses roses ont souligné, avec une belle délicatesse, cet instant subtil.
J'ajoute un cadeau particulier : la présence fraternelle de C. et M. mes deux frangines qui me voyaient conter pour la première fois de leur vie et celle de V. l'amie rieuse de l'une d'elles qui s'enthousiasma avec une joie juvénile.... hum....
http://pagesperso-orange.fr/n.casbas/ site d'où est tirée la jolie fée aux violettes
samedi 2 février 2008
Emprunt
une des représentations calligraphiées du mot Amour
sur sakkal.com
Il est bon de franchir chaque jour une étape
Comme l'eau vive qui ne stagne pas.
Hier s'est enfui, l'histoire d'hier elle aussi est passée
Il convient aujourd'hui de conter une histoire nouvelle.
"Spiritualités vivantes". Ed. Albin Michel Paris 1993
http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=5194297828931482522
Il est bon de franchir chaque jour une étape
Comme l'eau vive qui ne stagne pas.
Hier s'est enfui, l'histoire d'hier elle aussi est passée
Il convient aujourd'hui de conter une histoire nouvelle.
"Spiritualités vivantes". Ed. Albin Michel Paris 1993
http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=5194297828931482522
Phrases
Avenir - "Quand deux chemins s'ouvrent à toi, choisis toujours le plus difficile, celui qui exigera le plus de toi, le meilleur" (De qui ? ,,,,,???)
Contes - "Les contes... dirigent l'enfant vers la découverte de son identité et de sa vocation. .... Ces histoires (lui) promettent que, s'il ose s'engager dans cette quête redoutable et effrayante, des présences bienveillantes viendront l'aider à réussir. Elles mettent également en garde les timorés et les bornés qui, faute de prendre les risques qui leurs permettraient de se trouver, se condamnent à une existence de bon à rien, ou un sort encore moins enviable." (De qui ?... ???? On peut ne pas être d'accord, en discuter, échanger.... Je doute qu'elle concerne les enfants.
Une phrase intéressante - suite à une merveilleuse soirée inoubliable : "Le bonheur n'est pas dans le bonheur. Il est dans l'incessante marche. Alors sortez, vivez tant que vous êtes vivants, faites quelque chose, un coup de folie ou mieux, qui sait, si vous venez de dîner.... faites la vaisselle" - Jean Sulivan (in Matinales)
Longtemps ma préférée - "Je rêve d'un monde où l'on pourrait arrêter le premier venu au tournant de n'importe quelle rue, en se faisant en quelque sorte par le coeur du premier coup son égal ; continuer avec lui, sans autre étonnement, sa conversation intérieure. Les rares fois où Dieu m'a fait la grâce de telles rencontres, j'ai découvert véritablement ce que c'est d'aimer" Emmanuel Mounier (Philosophe)
Contes - "Les contes... dirigent l'enfant vers la découverte de son identité et de sa vocation. .... Ces histoires (lui) promettent que, s'il ose s'engager dans cette quête redoutable et effrayante, des présences bienveillantes viendront l'aider à réussir. Elles mettent également en garde les timorés et les bornés qui, faute de prendre les risques qui leurs permettraient de se trouver, se condamnent à une existence de bon à rien, ou un sort encore moins enviable." (De qui ?... ???? On peut ne pas être d'accord, en discuter, échanger.... Je doute qu'elle concerne les enfants.
Une phrase intéressante - suite à une merveilleuse soirée inoubliable : "Le bonheur n'est pas dans le bonheur. Il est dans l'incessante marche. Alors sortez, vivez tant que vous êtes vivants, faites quelque chose, un coup de folie ou mieux, qui sait, si vous venez de dîner.... faites la vaisselle" - Jean Sulivan (in Matinales)
Longtemps ma préférée - "Je rêve d'un monde où l'on pourrait arrêter le premier venu au tournant de n'importe quelle rue, en se faisant en quelque sorte par le coeur du premier coup son égal ; continuer avec lui, sans autre étonnement, sa conversation intérieure. Les rares fois où Dieu m'a fait la grâce de telles rencontres, j'ai découvert véritablement ce que c'est d'aimer" Emmanuel Mounier (Philosophe)
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