jeudi 27 août 2015

12août 2015 - Heure du conte à Binic, (22), salle de l'Estran

Coucou. 
C'était le 12 août 2015. A l'Estran, salle spectacle de Binic et accueillies par Eric Prunier le directeur de l'Office du Tourisme
Nous étions deux,  Marie-Annicket Moa et nous nous sommes bien amusées en divertissant ce grand Public. Du coup, lui aussi. Ce fut un plaisir. 


Une introduction "vitesse et surprise". Nous tournons le dos au public, nous faisons semblant de répéter, nous disons les devinettes, sans donner les réponses, à toute vitesse, voix posées. Puis nous nous sommes retournées et retrouvées face à un public étonnamment muet, surprise aidant. Personne ne bougeait.
Nos choix de textes se complétaient. 
Notre public a eu droit à de courts contes merveilleux bretons pour Marie-Annick et deux randonnées de mon côté, l'une océanienne et guerrière (pour une représentante du Mouvement de la Paix quelque peu paradoxal, c'est vrai, mais au final mille et un rires) et la seconde classique. Emportée, gaie et quasi musicale dans son élan, elle a permis à chacun de transformer doigts en crayons et de dessiner le texte en plein vol.
Pour la fin, c'est chaque fois pareil : mais pourquoi personne ne voit passer la minuscule souris qui dit "c'est fini !" ?

Au final, de jolies perles parmi les contacts : 

  • Une petite fille "qui veut vous parler" dit sa Maman. Et l'enfant de me dire "Je m'appelle Margot" et je comprend tout. Je me suis renseignée auprès d'Eric Prunier : y a-t-il une maison qui était importante et dont je pourrais prendre le nom du propriétaire. Il me donne un prénom féminin : je l'ai utilisé au cours de la seconde randonnée. Au grand ravissement de cette enfant.
  • Une Maman qui s'exprime : "Mais comment faites-vous ? Vous n'avez aucun décor à l'exception de quelques détails et vos voix et nous oublions la salle, nous sommes ailleurs et ça nous fait du bien" Je n'ose dire que ça nous fait plaisir mais je l'écris.
  • Une jeune maman anglaise qui présente ses deux enfants identiquement vêtus de même, avec marinière bretonne. La randonnée aux crayons leur avait beaucoup plus : "of course" à réaliser soudain qu'elle  est adaptée d'un ouvrage anglais. La preuve suit

La preuve suit, il vous suffit de cliquer


Le Télégramme en a donné un article : Mercredi, ce sont près de 100 enfants et parents qui ont assisté, à la salle de l'Estran, aux contes de Marie-Annick Colombel et Lania, sur le thème du crâne bavard, des histoires à en perdre la tête. Les deux conteuses ont raconté autant de façon de perdre la tête, de rêver en voyant, de frissonner en écoutant ou de devenir, mais ce n'est pas si simple. Le public a beaucoup apprécié ce spectacle rieur et varié, mêlant histoires et magie. Érick Prunier, responsable de l'office de tourisme se réjouit d'ailleurs du succès rencontré, cette année, à chaque séance de contes. 



© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/binic/mercredi-du-conte-tres-beau-succes-15-08-2015-10740099.php











A en oublier mon portable. Pas si mal : me voilà en vrac'ances. 

samedi 22 août 2015

Scoop. Ecoutez-moi et découvrez ce soir au Bar associatif "la Cour des Miracles" Maria Ruette, artiste Lyrique et belle ...

Vénézuélienne.

Rennais rennaises, "La Cour des Miracles" ce samedi soir dès 21 h accueille Maria Ruette
Délicieuse et belle vénézuélienne, Maria a planté ses racines en France. 
Elle nous offre la découverte de son répertoire Musique Vénézuéliennes
Elle accompagne sa voix merveilleusement soprano -elle est chanteuse lyrique- du célèbre instrument à quatre cordes typiquement vénézuélien. Je veux parler du "cuatro" 


Avec elle, Surprise n'est pas loin. 

A ce soir,

mercredi 19 août 2015

Sur le Mail rennais, nouvellement transformé, un légume époustouflant

Il n'y a pas à dire, 
nous avons tous besoin de nous appuyer les uns sur les autres,
y compris le Radis qui prend racine au bout du Mail François Miterrand à Rennes
sur les savoirs faire de Dawa et Marie.

Au bout du Mail Rennais
le Radis son abri a trouvé

Sous l'oeil de chacun
il rutile au soleil

Rouge clocher
aux mille éclats

on y croirait 
une bombe glacée

Glace au radis
A l'eau la Vie .

Souvenir d'une nouvelle promenade sans but, aux découvertes heureuses et ressentis bonheur.

dimanche 16 août 2015

La Voyageuse à pied. Samedi 15 août 2015. Quitter Umérica et rentrer chez soi.

Point n'est besoin d'aller en bus, ou en train, ou en avion...

Point n'est besoin d'aller à pied et si le besoin se fait sentir ouvrir les yeux sur le chemin, dans le voyage.

Comme hier, la Voyageuse a cheminé.

 Il a seulement suffi de soulever les paupières pour mieux découvrir  
l'entrée de l'église S' Melaine
 le médaillon au plafond du cloître St Melaine
 le graphe impertinent au carrefour du bout de la rue Le bastard
 la lucarne de l'arbre
 les danseurs soufis
 la fresque colorée
 les draps blancs  blanchissants au soleil
 le poids de sa chaleur
 les techniques d'approche
 de la tourterelle
 l'éclat métallique de l'étincelle solaire
 l'opposition entre métal et terre cuite
Retrouver l'agapanthe blanche de Balconnier, côté coursive alors même que Second Trésor sa fille, s'en éloigne. Belle soirée Second Trésor.

Petite histoire de rue - Street story

C'était la nuit. Un homme marchait dans la rue. Il retournait chez lui.
Il aperçoit un homme qu , ramassé à quatre pattes, sous un lampadaire semblait chercher quelque chose sur le sol.  
L'homme qui marchait interroge celui qui cherche "je peux vous aider ?"
"Si vous voulez. Je cherche mes clefs"
L'homme ramassé à quatre pattes cherche à son tour.
Ni l'un ni l'autre ne trouve.
"Vous êtes sûrs que vous les avez perdus ici ?"
"Ah non pas du tout, je suis même sur du contraire, je les ai perdus là-bas" et il se retourne et montre l'obscurité derrière eux.
"Mais alors pourquoi les chercher ici ?" s'étonne l'autre homme
"Parce que c'est plus commode de chercher sous le lampadaire !"

Fred Pellerin, le magnifique conteur

Elle partage, parce qu'elle pourrait être sa grand-mère et comme j'en serai fière
mais pas que
Elle partage parce qu'elle a fait un super périple au Québec, il y a longtemps et que c'est comme si c'était hier encore,
à voir les bleuets pour les cueillir (ce sont les myrtilles),
à dévaler en rétro pédalage dans une île,
à se baigner dans une piscine naturelle,
à rencontrer les Félix, une famille avec laquelle elle communique encore...
à utiliser auprès des enfants une boîte transparente qui les rend muets. Vient le silence, vient la parole, vient l'écoute.
Ecouter, observer sont ses maîtres mots.
Parfois elle les cache en parlant... trop.


Elle seule sait. 

jeudi 13 août 2015

12 août - Heure du Conte "Tisseurs de Contes-La Filois" - Binic salle de l'Estran (22)

Bonjour.

Parties avec le soleil nous sommes revenues sous une pluie battante jusqu'à Rennes - 20 kms.
Preuve en est, la plage
 que nous avons découverte abandonnée par les baigneurs, les baigneuses, la charmante Lise, les bouées, pelles, seaux, sable, tamis et râteaux, nattes, serviettes éponges, parasols et cornets à glace.
 il ne restait plus qu'à quitter les lieux.

Qu'en fut-il du spectacle ?
Démarré de dos et en lecture de devinettes alternativement du tac au tac, sans donner les réponses.
Etonnement du public, un beau public d'au moins 90 personnes pour ne pas dire une centaine.
dont une Maman qui m'a dit qu'elle venait pour la première fois et qu'elle reviendrait.
Etonnement du public silencieux, un brin dans l'expectative.
On pose les devinettes pour de vrai. Les enfants se débrouillent fort bien. Bonjour l'ambiance.
Puis Lania introduit d'un subtil renversement de bâton de pluie. Elle suggère la présence sur un rocher d'une femme  mélanésienne. Elle a peau couleur cannelle amande tatouage et yeux rieurs. Et en face d'elle des enfants assis en demi-lune. Tout comme à l'instant. Celui que le bâton de pluie prend pour s'arrêter et passer la parole   à conteuse Marie Annick. La voix douce et rieuse, elle emmène tout le monde dans les mont d'Arrrée cueillir les

  • Citrouilles du Diable, ça sent la négociation, les rires fusent et la chanson. Jean veut devenir jongleur. Il épouse la belle princesse. Il la sauve de la mort en relevant le défi du diable  : jongler avec trois énormes citrouilles sur une longe, étoile et fragile passerelle du Gouffre Noir. 

    Le bâton de pluie renversant ramène la femme, peau couleur amande cannelle et yeux rieurs et la mer. Lania chante le désespoir d'une baleine. Conteuse Marie-Annick reprend le refrain avec le public.  une façon pour Lania d'entrer dans le conte qui suit, la
  • Guerre des Poissons : (Conte de Micronésie-extrait spectacle Mille et une Iles d'Océanie) grands poissons contre petits poissons : ça sent le combat. Et les assaillants. Les voilà sous la voix de Coelecanthe LeVieux : il distribue militairement les consignes :
Hélène LaBaleine contre Harry Brillant LeHareng
Romain le Requin contre Juliette Lassardinette
Hannibal LeNarval et sa longue dent qui lui fait croire qu'il est cousin de la douce Licorne, contre Tupik Lourssin
Denis Lepoissonsscie contre Limande Laplate
et Théo LeRequinMarto contre Traverss LeCrabe
Rassurez-vous personne ne sera blessé.

Le bâton de pluie subtilement renversant rappelle la femme peau couleur amande-cannelle tatouage et yeux rieurs et passe la parole à conteuse Marie Annick.

Sous la voix douce et souriante, le public rencontre Petit-Jean le charbonnier des Monts d'Armée. Il a été nourri par une louve, comme Rémus et Romulus l'ont été. Petit Jean devient chef de meute, puis meneur de loups. Avec Valentine, il a onze garçons : tous deviennent meneurs de loups, comme leur père.
Nous le suivons jusqu'à son mariage.

A l'heure du goûter.
C'est une belle heure qui suggère à Lania, sur le même thème du loup, un air de sa composition intitulé "Bébé Panda a une faim de loup"

Tout à une fin.
La fin de cette Heure du Conte à Binic, Lania l'enfile sur une randonnée dessinée à mains nues par tous et elle félicite chacun. Encore une fois elle passe à côté de son rêve : présence d'un photographe et participation affectueuse et ludique d'un public hétérogène qui ne serait pas au courant (sinon pas marrant) pour identifier chaque geste et écrivant parallèlement le texte, faire du tout... un livre-photos. Tout un public en face de soi dessinant en même temps une maison, un grenier, un tas de farine, un rat, un chat, un chien, une vache, une jolie demoiselle, un méchant brigand, un gentil commissaire, un coq qui l'éveille, le grain de blé qu'il mange, Pierre qui a semé le grain et Margot qu'il épouse : à chaque fois un bijou.

Histoires dans l'histoire, trois plaisirs persos :
L'enfant qui mime la tête de Théo LeRequinMarto
La Maman anglaise qui remercie Lania pour le plaisir qu'elle a pris et lui présente ses deux petits anglais de fils, vêtus de la même marinière blanche rayée de bleu... et Lania qui éclate de rire et se met à leur parler en anglais se souvenant de ce que La Maison que Pierre a bâtie soit une adaptation d'une randonnée anglaise. 
Et un troisième. Une autre Maman qui lui dit que sa petite fille veut lui parler. Lania s'agenouille pour tendre l'oreille. L'enfant a trois ans et lui dit "Je m'appelle Margot" Tilt t t t t t...  tout comme la femme de Pierre. qui était aussi dans la salle et que Margot a entraîné derrière le fameux rideau noir.





mardi 11 août 2015

A venir deux rendez-vous à CHATEAUGIRON (Ille et Vilaine) les samedi 26 septembre et 3 octobre 2015

Bonjour

J'ai le plaisir de vous faire connaître que j'interviendrai au 
Centre d'Art  


LES 3 CHA à Chateaugiron

CHApelle
CHAteau
CHAteaugiron
au cours de

"les rendez-vous du samedi matin" 


26 septembre / 10h30-12h : Atelier d’écoute adulte / 5 €

« Reflets de pierres » avec Lania, conteuse (à partir de 15 ans)

03 octobre / 10h30-12h : Atelier d’écoute enfant / 5 €

« Pinceaux de pierres » avec Lania, conteuse (pour les 8-14 ans)

Je vous emmènerai au travers de rues et ruelles des 22 Petites Cités de Caractère Bretonnes.  De photos en toiles et peintures façon conteuse

"Petit bonhomme petit homme, 
viens t'en vite viens t'en voir 
marron qui veut devenir myrtille, 
je sais le Breton ...
Quel Breton ?"

A vous rencontrer pour y répondre

Tous les ateliers (20 personnes) se font  sur inscription : 

mercredi 5 août 2015

La Voyageuse : Promenade de Rennes à Bréhât : mercredi 5 juillet 2015


 Soleil ponctuel

 La ligne blanche




 Ma préférée


Bréhât Bonjour

La Voyageuse : Promenade de Rennes à Bréhat - mercredi 5 août 2015

 Quitter l'esplanade Charles de Gaulle au petit matin frisquet
 Remarquer la pie 
 Ocre pour se rapprocher de la Provence
 Entrée du Mail François Miterrand le bâtiment de verre de Jean Nouvel
 8 h 26
 Passé Paimpol la fin du trajet
 Ma Souriante
 Vues


 Vues....
 du bus.
 On ne sera pas seules !
 On n'est pas seules
 Embarquera-t-on ? Quelques gouttes tombent.
 Ps si mal le poncho jaune
 ça la fait rire

 chaos
Croisement

La Voyageuse. Sorties Ville de Rennes mercredi 27 juillet à Locmariaquer : jolie destination

 Départ pour Locmariaquer : température un brin frisquette. Ex toulousaine la voyageuse étonne : dès qu'elle aperçoit un rayon de soleil elle se découvre.
 L'autobus s'ébranle. C'est parti. La Vénus anyadomène s'incline sur son passage.
 Il est rare que la Voyageuse aperçoive les horizons ainsi. Photo. 
 Lochmariaquer, tout le monde descend. Bienvenue. Petit vent à peine frais. Le soleil brille. Au Syndicat d'initiative le renseignement est offert sourire compris. Plaisant. La plante grasse est étonnante.
Accueil sur les murs d'un sourire et d'une poignée de pousse-pieds. 
 La Voyageuse collectionne les photos de girouette. Le coq de l'église est une belle prise.
 1914-1918, dans l'église ceux morts pour la France. Parmi les prénoms Mathurin a la cote.
 Dans l'église, une surprise : le magnifique escalier en fer forgé façon dentelle, pour se rendre dans le clocher et le faire sonner
 Trois petites notes de musique... heu non, la Voyageuse fait erreur, trois étranges petites lucarnes
 La jolie porte bleue
 le diabolo bio nommé "roses trémières" auprès du bar du Golfe elle y mange elle y mange
la Voyageuse y prend le café et elle y rencontre des Tarn et Garonnais, des Albigeois. Le chapeau de paille au ruban noir.  Impossible de ne pas échanger quelques palabres. 
Un must. Un plaisir. L'accent multiplié.
 Bateau morbihannais
 Beau décor
 Par où on passe ? Gauche ? Droite ? Droite s'impose.
 Les vigiles du Golfe
 Maman les petits bateaux qui vont sur l'eau ont-ils des jambes ?????
 Entrée 
 L'amie de  la Voyageuse
 Voiles blanches
 Quand elles ont vu le crâne elles ont plaisanté. Laquelle a dit "Crâne qui t'a mené là ?" 
Peu importe. Mais elles ont répété la phrase pour rire, comme ça, au moins une fois chacune. Puis elles ont fait silence. 
Alors les mâchoires du crâne se sont ouvertes en crissant. Puis elles se sont abaissées et elles ont articulé la réponse "La parole !" Elles répétaient chacune "La parole, le crâne a parlé, le crâne a dit "la parole" il a répondu à notre question. le crâne a parlé, il faut le dire au maire" Elles dansaient sur le sable en riant puis  elles se sont retrouvées à la mairie. Le maire n'en a rien voulu croire.
"j'ai du travail à faire, des dossiers à terminer, je ne peux pas vous suivre..." 
"Il le faut Monsieur le Maire, nous vous l'assurons, le crâne a parlé, un crâne qui parle, sur votre plage  c'est extraordinaire. Il a dit "la parole" quand nous lui avons demandé "Qui t'a mené là ?" "Vous devez interroger cet étrange administré !" 
Monsieur le Maire a cédé. La voiture de fonction s'est avancée et elles sont montées après lui.  Bientôt sous leurs pieds le sable crissait. "Alors, il est où votre crâne ? De toute façon s'il ne répond pas, craignez pour vos têtes !" 
Elles ont dit
"oh nous ne craignons rien, nous l'avons vu et entendu et nous sommes deux à avoir vu cela". Enfin Monsieur le Maire à son tour a remarqué le crâne.  Osseux, troué, sifflant, le vent s'engouffrant dans les orbites et le nez.  
Laquelle a dit : "Crâne qui t'a mené là "? Elles l'ont dit une fois, deux fois, trois fois. Monsieur le Maire parlait de ses dossiers qui prenaient du retard. Il a pris colère 
"ce crâne ne parle pas, un crâne n'a jamais parlé, on n'a jamais ni vu ni entendu un crâne parler !" Au comble de sa colère, d'un geste désordonné, mal dirigé, il a fait tomber leurs têtes.
Ebahi, sous le choc, il a quitté les lieux.  Pendant que les têtes  roulantes ont roulé, roulé, roulé et se sont arrêtées au pied du crâne.  Façon de parler. 
Les mouettes ont arrêté de crier ;  les poissons se sont arrêtées de nager. Aucun bruit, aucun mouvement, aucun grain de sable à se déplacer. Le silence pur et dur. 
Soudain les mâchoires ont crissé, et le crâne a véritablement parlé. Il a dit en regardant leurs têtes.
"Têtes, qui vous a menées là ?"
 La vierge et l'enfant qui veillent sur les bateaux et leurs équipages qu'ils sortent ou qu'ils rentrent, légende pour preuve à découvrir dans l'église
 La Voyageuse tente de garder l'équilibre sous le vent soufflant
 Le cerf-volant tient tête au vent violent
 Kerpenhir le lieu dit
 Les deux voiliers
 Bonheur
 Les trois marches à descendre pour goûter l'eau : design.
 Ouf, vlà l'bout
 La photo préférée de la Voyageuse
 Retour. Tout le monde embarque.